Le mouvement d'humeur des Asp (Agents d'assistance à la sécurité de proximité) a étendu ses tentacules dans tout le Sénégal. À Kaolack, ces derniers se sont fait entendre à travers un plan d'actions visant à interpeller l’État sur leur situation.
Face à la presse ce matin, les Asp ont manifesté leur désarroi. "C'est avec le cœur meurtri et chagriné que nous élevons la voix. Nous dénonçons avec la dernière énergie l'injustice et le manque de considération que les agents de sécurité et de proximité subissent de plein fouet. Vous n'êtes pas sans savoir que ce sont des pécules que nous recevons de la part de l'État du Sénégal. Aucune avancée n'a été notée dans le cadre du traitement salarial, au contraire nous faisons du surplace au moment où d'autres travailleurs sociaux avancent sans tambour ni trompette."
Et pourtant, les promesses ne manquaient pas tout au début. "À nos débuts, monts et merveilles nous ont été promis par les autorités : intégration dans la fonction publique, prise en charge sociale, etc... Ces promesses ne sont aujourd'hui que l'ombre d'elles-mêmes. C'est un sentiment de désolation, de démotivation et d'amertume qui nous anime", ont-ils regretté.
C'est la raison pour laquelle, ces travailleurs sociaux de solliciter une reconsidération de leur statut. "Tout n'est qu'une question de volonté. Ce que nous demandons est une intégration dans la fonction publique sans conditions, à l'instar des autres travailleurs", ont-ils conclu.
Face à la presse ce matin, les Asp ont manifesté leur désarroi. "C'est avec le cœur meurtri et chagriné que nous élevons la voix. Nous dénonçons avec la dernière énergie l'injustice et le manque de considération que les agents de sécurité et de proximité subissent de plein fouet. Vous n'êtes pas sans savoir que ce sont des pécules que nous recevons de la part de l'État du Sénégal. Aucune avancée n'a été notée dans le cadre du traitement salarial, au contraire nous faisons du surplace au moment où d'autres travailleurs sociaux avancent sans tambour ni trompette."
Et pourtant, les promesses ne manquaient pas tout au début. "À nos débuts, monts et merveilles nous ont été promis par les autorités : intégration dans la fonction publique, prise en charge sociale, etc... Ces promesses ne sont aujourd'hui que l'ombre d'elles-mêmes. C'est un sentiment de désolation, de démotivation et d'amertume qui nous anime", ont-ils regretté.
C'est la raison pour laquelle, ces travailleurs sociaux de solliciter une reconsidération de leur statut. "Tout n'est qu'une question de volonté. Ce que nous demandons est une intégration dans la fonction publique sans conditions, à l'instar des autres travailleurs", ont-ils conclu.
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