La pandémie de Covid-19, depuis son apparition, a causé des dégâts inestimables sur toute la planète. Sur les hommes, elle a fait beaucoup de victimes, non sans plonger nos économies dans une récession inédite.
Et si, comme le dit l’adage, « la nature a horreur du vide », cette situation causée par le coronavirus, imposant une certaine rupture entre l’homme et la nature surtout en période de confinement, ne sera pas bénéfique pour ces deux créatures, appelées à vivre en parfaite harmonie. Ce que semble comprendre le ministre de l’environnement et du développement durable qui présidait ce matin, la cérémonie de lancement des activités marquant la célébration de la journée mondiale de l’environnement.
Dans cette perspective, le ministre de l’environnement estime qu’en tant qu’acteurs environnementaux et même en tant que citoyens simples, la lutte contre la dégradation des écosystèmes naturels et la perte des biens et services doit attirer leur attention. C’est donc, un défi planétaire qui interpelle tout le monde.
Dans cette partie du Sénégal où prévaut l’exploitation abusive des ressources procurées par les mangroves, le ministre de l’environnement et du développement durable rappelle que la dégradation y a atteint un niveau inquiétant. Ces actions, tendant à détruire l’écosystème naturel dont notre pays dispose, doivent conduire à s’inquiéter de ces changements climatiques et particulièrement des effets de la crise qui appellent inéluctablement à donner les bonnes options afin que la restauration de ces écosystèmes soit enfin, une réalité.
Et si, comme le dit l’adage, « la nature a horreur du vide », cette situation causée par le coronavirus, imposant une certaine rupture entre l’homme et la nature surtout en période de confinement, ne sera pas bénéfique pour ces deux créatures, appelées à vivre en parfaite harmonie. Ce que semble comprendre le ministre de l’environnement et du développement durable qui présidait ce matin, la cérémonie de lancement des activités marquant la célébration de la journée mondiale de l’environnement.
Dans cette perspective, le ministre de l’environnement estime qu’en tant qu’acteurs environnementaux et même en tant que citoyens simples, la lutte contre la dégradation des écosystèmes naturels et la perte des biens et services doit attirer leur attention. C’est donc, un défi planétaire qui interpelle tout le monde.
Dans cette partie du Sénégal où prévaut l’exploitation abusive des ressources procurées par les mangroves, le ministre de l’environnement et du développement durable rappelle que la dégradation y a atteint un niveau inquiétant. Ces actions, tendant à détruire l’écosystème naturel dont notre pays dispose, doivent conduire à s’inquiéter de ces changements climatiques et particulièrement des effets de la crise qui appellent inéluctablement à donner les bonnes options afin que la restauration de ces écosystèmes soit enfin, une réalité.
Autres articles
-
Manifestation du 29 juin : les commerçants du marché Colobane s’indignent et réclament plus de sécurité.
-
Cérémonie de décoration 2022 : plus de 380 agents du Ministère des Finances et du budget distingués.
-
Relance du secteur postal : « Le code des postes de 2006, en révision » (Yankhoba Diattara)
-
Sanction des cliniques privées : l’ACPS interpelle directement Macky Sall et Marie Khémesse Ngom
-
Manifestation du 29 juin : les commerçants des allées du centenaire crient leur ras-le-bol