À 30 ans, Djily Diop continue sa belle aventure dans le monde électronique, plus précisément dans la réparation de téléphones portables et pas n'importe lesquels. En effet, ce fils du Baol qui n'a jamais fréquenté les bancs de l'école française, fait partie des meilleurs spécialistes de la marque iPhone au Sénégal. Au marché de Colobane où il tient son petit atelier de réparation, entouré d'instruments basiques, la renommée du bonhomme force le respect. Difficile d'avoir une panne et ou de rechercher des pièces de la marque avec la pomme croquée (iPhone), sans penser au natif de Mérina Diop (Lambaye.)
Avec un don pour le bricolage qui s'est très tôt révélé en lui, durant son enfance, celui que tout prédestinait à devenir un commerçant comme son illustre père, sera inexorablement happé par le monde électronique et ses subtiles connexions.
Fort de son éducation façonnée dans les écoles coraniques de la région de Diourbel, Djily "Bagdad" de son sobriquet, a pourtant réussi à se faire un nom dans un marché extrêmement concurrentiel. Une prouesse d'autant plus remarquable que le jeune entrepreneur n'a subi aucune formation en la matière. Un pur autodidacte, qui a su exprimer son génie au fil des années. Tout de même, conscient des enjeux et désireux de se perfectionner davantage, il entamera un voyage en Chine. 6 mois durant lesquels, Djily a bravé la barrière linguistique et culturelle pour apprendre avec les meilleurs et revenir dans son pays mieux outillé.
Un itinéraire loin d'être banal, pour ce génie de la répartition, autodidacte de surcroît. D'ailleurs, Djily n'hésitera pas à exhorter ses jeunes compatriotes Sénegalais qui prennent les voies de l'émigration irrégulière, à privilégier la quête du savoir. Le seul moyen de trouver sa profession, son métier et par la même occasion de s'émanciper financièrement.
Avec un don pour le bricolage qui s'est très tôt révélé en lui, durant son enfance, celui que tout prédestinait à devenir un commerçant comme son illustre père, sera inexorablement happé par le monde électronique et ses subtiles connexions.
Fort de son éducation façonnée dans les écoles coraniques de la région de Diourbel, Djily "Bagdad" de son sobriquet, a pourtant réussi à se faire un nom dans un marché extrêmement concurrentiel. Une prouesse d'autant plus remarquable que le jeune entrepreneur n'a subi aucune formation en la matière. Un pur autodidacte, qui a su exprimer son génie au fil des années. Tout de même, conscient des enjeux et désireux de se perfectionner davantage, il entamera un voyage en Chine. 6 mois durant lesquels, Djily a bravé la barrière linguistique et culturelle pour apprendre avec les meilleurs et revenir dans son pays mieux outillé.
Un itinéraire loin d'être banal, pour ce génie de la répartition, autodidacte de surcroît. D'ailleurs, Djily n'hésitera pas à exhorter ses jeunes compatriotes Sénegalais qui prennent les voies de l'émigration irrégulière, à privilégier la quête du savoir. Le seul moyen de trouver sa profession, son métier et par la même occasion de s'émanciper financièrement.
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