Dans un récent post sur X, Thierno Alassane Sall n'a pas mâché ses mots concernant la situation actuelle au sommet de l'État sénégalais. Selon le leader de la République des Valeurs, « un minimum de respect pour les Sénégalais aurait dû pousser les dirigeants du Pastef à prendre l’initiative de mettre un terme à la guerre froide, désormais officiellement déclarée, entre Sonko et Diomaye ».
Il déplore que, « au lieu de cela, nombre de ces nouveaux apparatchiks versent de l’huile sur le feu, avec des messages d’allégeance sur les réseaux sociaux. Et ils assument ! Sans même se réfugier derrière des divergences de programmes ou d’autres alibis éculés ».
Poursuivant son analyse, Thierno Alassane Sall enfonce le clou : « Non ! Il s’agit d’une indécente guerre d’egos et de pouvoir. Cela a, au moins, le mérite de la clarté. Ce n’est pas Sankara contre Blaise. C’est Blaise contre Compaoré. Une farce tragique. Un pathétique épisode de la supercherie Diomaye mooy Sonko ».
Il conclut en tirant la sonnette d'alarme : « Pendant ce temps, les Sénégalais, pris au piège dans les décombres du quatrième sous-sol, attendent impatiemment l’arrivée des secours. Mais le Premier ministre, lui, ne voit que sa part, qu’il trouve insuffisante, du pouvoir. Et le voilà qui mobilise députés, directeurs généraux et ministres pour un nouveau gatsa-gatsa ».
Il déplore que, « au lieu de cela, nombre de ces nouveaux apparatchiks versent de l’huile sur le feu, avec des messages d’allégeance sur les réseaux sociaux. Et ils assument ! Sans même se réfugier derrière des divergences de programmes ou d’autres alibis éculés ».
Poursuivant son analyse, Thierno Alassane Sall enfonce le clou : « Non ! Il s’agit d’une indécente guerre d’egos et de pouvoir. Cela a, au moins, le mérite de la clarté. Ce n’est pas Sankara contre Blaise. C’est Blaise contre Compaoré. Une farce tragique. Un pathétique épisode de la supercherie Diomaye mooy Sonko ».
Il conclut en tirant la sonnette d'alarme : « Pendant ce temps, les Sénégalais, pris au piège dans les décombres du quatrième sous-sol, attendent impatiemment l’arrivée des secours. Mais le Premier ministre, lui, ne voit que sa part, qu’il trouve insuffisante, du pouvoir. Et le voilà qui mobilise députés, directeurs généraux et ministres pour un nouveau gatsa-gatsa ».
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