Prenant la parole devant les députés lors du vote de son budget, le ministre des finances et du budget, Cheikh Diba, insiste sur la transparence et la légitimité de la démarche liée à la gestion de la dette publique. En effet, il a indiqué que « personne ne peut remettre en cause la démarche initiée ». Il évoque l’Inspection Générale des Finances (IGF) qui a mené une vérification approfondie sur une période de 90 jours, avant de transmettre son rapport à la Cour des comptes, chargée de certifier et de publier les résultats. C'est ensuite que le rapport Mazars est intervenu pour compléter et confirmer les conclusions précédentes. Ainsi, ces résultats ont révélé une situation préoccupante.
Une situation préoccupante mais les projections sont bonnes
Malgré ce constat jugé catastrophique, Cheikh Diba adopte une posture optimiste : « la situation des finances publiques reste récupérable », a-t-il expliqué mettant en avant le début du processus de redressement avec l’élaboration d’une matrice de mesures de réformes, indiquant que les premières étapes vers la correction des dysfonctionnements sont engagées et que le pays est sur la bonne voie.
Terminant sur cette question, le ministre rappelle l’engagement de l’État dans une dynamique de redressement avec des réformes concrètes et l’amélioration des finances publiques grâce à la mise en œuvre de mesures structurantes.
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