Le président du comité d’organisation de lutte (Cng), Bira Sène, n’entend pas rester les bras croisés au moment où la lutte, notamment l’organisation des combats à l’arène nationale, connaît d’énormes manquements et des violations flagrantes du règlement par les lutteurs. Au lendemain du combat de lutte entre Balla Gaye 2 et Boy Niang 2, le 1 janvier dernier et les nombreux débordements soulignés (dépassement du temps de préparation, introduction d’objets interdis etc), Bira Sène a donc annoncé des mesures fermes avec des sanctions à la fois financières et administratives qui planent sur la tête des lutteurs…
D’emblée, il reconnaît que malgré les nombreux efforts consentis par le Cng pour mieux organiser et moderniser la lutte, « si les lutteurs refusent de se conformer au règlement ce n’est pas forcément de la défiance envers le CNG de lutte, mais plutôt parce qu’ils
ont des croyances bien ancrées et du coup, cela ne facilite pas la tâche. »
Toutefois, ceci n’empêchera en rien la prise de nouvelles mesures, plus sévères, pour ramener tout le monde à la raison, a insisté le successeur d’Alioune Sarr. « Désormais, il est porté à la connaissance de tous les lutteurs, qu’en cas de non-respect de l’heure fixée pour effectuer le touss (danse traditionnelle), le lutteur en faute ne pourra plus faire son touss ! Il n’est plus question qu’un lutteur nous fasse perdre du temps comme ça… Normalement le combat entre Balla Gaye 2 et Boy Niang 2 devait se terminer entre 19h30 et 19h45 au plus tard », s’est-il désolé au micro de Les Arènes.
En outre, Bira Sène s’est longuement épanché sur les sanctions financières qui seront appliquées avec effet immédiat. « Dorénavant, il sera accordé aux lutteurs un temps bien déterminé pour effectuer leur préparation mystique. S’agissant des grands combats, les combattants qui ont toute la latitude de boucler leur préparation une fois au stade, auront 10 minutes, une fois dans l’enceinte, avant le coup de sifflet… À la fin de ces dix minutes, le retardataire subira une sanction de 10. 000 FCFA par minute perdue, 20.000 FCFA par minute à partir d’un retard de 20 minutes … »
Par conséquent, Bira Sène qui entend mettre de l’ordre dans l’arène nationale avertit : « On ne permettra plus à un lutteur de perdre plus de 30 minutes. C’est la limite maximale qui sera autorisée. Au-delà de ces 30 minutes il y aura une suspension de 5 mois à 3 ans, voire plus », informe le président du CNG de lutte qui a annoncé qu’une note circulaire sera envoyée dans la semaine à tous les acteurs concernés.
D’emblée, il reconnaît que malgré les nombreux efforts consentis par le Cng pour mieux organiser et moderniser la lutte, « si les lutteurs refusent de se conformer au règlement ce n’est pas forcément de la défiance envers le CNG de lutte, mais plutôt parce qu’ils
ont des croyances bien ancrées et du coup, cela ne facilite pas la tâche. »
Toutefois, ceci n’empêchera en rien la prise de nouvelles mesures, plus sévères, pour ramener tout le monde à la raison, a insisté le successeur d’Alioune Sarr. « Désormais, il est porté à la connaissance de tous les lutteurs, qu’en cas de non-respect de l’heure fixée pour effectuer le touss (danse traditionnelle), le lutteur en faute ne pourra plus faire son touss ! Il n’est plus question qu’un lutteur nous fasse perdre du temps comme ça… Normalement le combat entre Balla Gaye 2 et Boy Niang 2 devait se terminer entre 19h30 et 19h45 au plus tard », s’est-il désolé au micro de Les Arènes.
En outre, Bira Sène s’est longuement épanché sur les sanctions financières qui seront appliquées avec effet immédiat. « Dorénavant, il sera accordé aux lutteurs un temps bien déterminé pour effectuer leur préparation mystique. S’agissant des grands combats, les combattants qui ont toute la latitude de boucler leur préparation une fois au stade, auront 10 minutes, une fois dans l’enceinte, avant le coup de sifflet… À la fin de ces dix minutes, le retardataire subira une sanction de 10. 000 FCFA par minute perdue, 20.000 FCFA par minute à partir d’un retard de 20 minutes … »
Par conséquent, Bira Sène qui entend mettre de l’ordre dans l’arène nationale avertit : « On ne permettra plus à un lutteur de perdre plus de 30 minutes. C’est la limite maximale qui sera autorisée. Au-delà de ces 30 minutes il y aura une suspension de 5 mois à 3 ans, voire plus », informe le président du CNG de lutte qui a annoncé qu’une note circulaire sera envoyée dans la semaine à tous les acteurs concernés.
Autres articles
-
CAN Maroc 2025 : La CAF révèle les six villes hôtes
-
Recadré par Diomansy Kamara, Édouard Mendy contre-attaque : « Il est essentiel de ne pas confondre les combats… »
-
Afrobasket U18 : Les Lionceaux sortent le champion en titre et rejoignent le dernier carré
-
Absence de photos officielles à l’issue des matches contre le Burkina et le Burundi : Édouard Mendy tacle la FSF !
-
Suspension de Marc Brys : La Fecafoot dément un « faux communiqué » et dénonce une campagne de déstabilisation