" La démocratie repose sur des institutions solides et des pratiques républicaines
scrupuleusement respectées par tous. La Déclaration de Politique générale (DPG) du
Premier Ministre, loin d'être un simple exercice de communication, constitue un moment décisif où le gouvernement s'engage, devant le peuple, à travers ses représentants élus, à suivre un cap précis selon les orientations du Président de la République. L'article 55 de notre Constitution impose au Premier Ministre de présenter sa DPG devant l'Assemblée nationale. Il est impératif de perpétuer cette tradition républicaine, gage de
transparence et de responsabilité gouvernementale", a déclaré l'ancien PM Amadou Bâ dans une note transmise à la rédaction de Dakaractu.
Poursuivant, il ajoute " La DPG doit donc être présentée dans le cadre institutionnel approprié, conformément à
notre Constitution et à nos traditions républicaines. Faire la DPG dans l’enceinte de l'Assemblée nationale, devant les élus parlementaires, n'est pas seulement une obligation constitutionnelle, c'est un devoir sacré. C’est pour cette raison qu’en tant que Premier Ministre, j’ai fait ma DPG devant l'Assemblée nationale, dans les trois mois qui ont suivi ma nomination, et fait face à la motion de censure que les députés d’un groupe parlementaire avait introduite".
" Pour éviter une crise institutionnelle susceptible de fragiliser notre démocratie, il est de notre devoir de veiller à ce que chaque étape de notre processus démocratique soit crupuleusement respectée. Mon vœu le plus cher, porté par mon engagement politique, est de voir notre pays progresser dans le respect de nos institutions et de nos valeurs démocratiques. Notre commune volonté à veiller sur ces principes renforcera notre démocratie et consolidera
la confiance de nos concitoyens envers leurs dirigeants", a-t-il conclu.
scrupuleusement respectées par tous. La Déclaration de Politique générale (DPG) du
Premier Ministre, loin d'être un simple exercice de communication, constitue un moment décisif où le gouvernement s'engage, devant le peuple, à travers ses représentants élus, à suivre un cap précis selon les orientations du Président de la République. L'article 55 de notre Constitution impose au Premier Ministre de présenter sa DPG devant l'Assemblée nationale. Il est impératif de perpétuer cette tradition républicaine, gage de
transparence et de responsabilité gouvernementale", a déclaré l'ancien PM Amadou Bâ dans une note transmise à la rédaction de Dakaractu.
Poursuivant, il ajoute " La DPG doit donc être présentée dans le cadre institutionnel approprié, conformément à
notre Constitution et à nos traditions républicaines. Faire la DPG dans l’enceinte de l'Assemblée nationale, devant les élus parlementaires, n'est pas seulement une obligation constitutionnelle, c'est un devoir sacré. C’est pour cette raison qu’en tant que Premier Ministre, j’ai fait ma DPG devant l'Assemblée nationale, dans les trois mois qui ont suivi ma nomination, et fait face à la motion de censure que les députés d’un groupe parlementaire avait introduite".
" Pour éviter une crise institutionnelle susceptible de fragiliser notre démocratie, il est de notre devoir de veiller à ce que chaque étape de notre processus démocratique soit crupuleusement respectée. Mon vœu le plus cher, porté par mon engagement politique, est de voir notre pays progresser dans le respect de nos institutions et de nos valeurs démocratiques. Notre commune volonté à veiller sur ces principes renforcera notre démocratie et consolidera
la confiance de nos concitoyens envers leurs dirigeants", a-t-il conclu.
Autres articles
-
Communique du conseil des ministres du Mardi 03 Décembre 2024
-
Nouvelle Assemblée Nationale: Les citoyens partagés entre scepticisme et attentes élevées
-
Liste des médias conformes: le CDEPS dénonce une décision unilatérale du ministère de la Communication
-
Installation de la 15e législature: " Les violations graves de la loi par la nouvelle majorité parlementaire"( Thierno Bocoum)
-
Orctis : la chute spectaculaire du capo de la drogue A. Bangoura et de son réseau criminel de cambriolages et de blanchiment après six années de traque