Le Premier ministre guinéen est revenu sur les raisons de la suspension de la participation de son pays à l’OMVS : retards dans le financement et la réalisation du projet Koukoutamba, non prise en compte des intérêts stratégiques et sous-représentation de son pays dans les effectifs de l’OMVS ainsi que l’absence de représentants dans les instances de décision.
Le Gouvernement du Sénégal, par la voix de son porte-parole, a commenté cette décision de suspension, en affirmant que la Guinée s’adresse à l’OMVS en tant qu’entité et non au Sénégal. Selon le député Thierno Alassane Sall, tout semble indiquer que « l’OMVS n’est qu’un prétexte pour exprimer un malaise, qui si on n’y prend garde pourrait déboucher sur une crise entre pays membres ».
L’ancien ministre de l’énergie estime que l’exploitation et le partage des ressources naturelles communes ne sauraient se faire que sur la base des principes d’équité, d’égalité et de respect mutuel entre pays aux liens séculaires. Un rééquilibrage des rôles et responsabilités s’impose dès lors au sein de l’OMVS et le Sénégal doit accorder selon le président de la République des Valeurs, plus d’attention à ses relations bilatérales avec la Guinée.
En effet, Thierno Alassane Sall estime que la sortie de la Guinée de l'Organisation de la Mise en Valeur du fleuve Sénégal (OMVS) n'est pas souhaitable. Ce serait un coup dur porté à l'idéal d'intégration sous-régionale. « Nous partageons le Fleuve Sénégal, et plus encore. Pour la prospérité de nos nations, nous devons inéluctablement cheminer ensemble » a t-il fait savoir à ce sujet.
Le Gouvernement du Sénégal, par la voix de son porte-parole, a commenté cette décision de suspension, en affirmant que la Guinée s’adresse à l’OMVS en tant qu’entité et non au Sénégal. Selon le député Thierno Alassane Sall, tout semble indiquer que « l’OMVS n’est qu’un prétexte pour exprimer un malaise, qui si on n’y prend garde pourrait déboucher sur une crise entre pays membres ».
L’ancien ministre de l’énergie estime que l’exploitation et le partage des ressources naturelles communes ne sauraient se faire que sur la base des principes d’équité, d’égalité et de respect mutuel entre pays aux liens séculaires. Un rééquilibrage des rôles et responsabilités s’impose dès lors au sein de l’OMVS et le Sénégal doit accorder selon le président de la République des Valeurs, plus d’attention à ses relations bilatérales avec la Guinée.
En effet, Thierno Alassane Sall estime que la sortie de la Guinée de l'Organisation de la Mise en Valeur du fleuve Sénégal (OMVS) n'est pas souhaitable. Ce serait un coup dur porté à l'idéal d'intégration sous-régionale. « Nous partageons le Fleuve Sénégal, et plus encore. Pour la prospérité de nos nations, nous devons inéluctablement cheminer ensemble » a t-il fait savoir à ce sujet.
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