Dans une déclaration rendue publique, la Cellule d’Appui à la Veille Stratégique de l’APR a réagi à la dernière sortie médiatique du président Bassirou Diomaye Faye.
« Les propos lunaires et ubuesques du Président Bassirou Diomaye Faye (PBDF) lors de sa dernière intervention sont révélateurs de la grave crise de leadership qui handicape lourdement notre pays. Sans retenue, avec une discourtoisie peu amène et étrangère à l’élégance républicaine dont ont témoigné tous ses prédécesseurs, PBDF s’est embourbé dans les méandres de l’ineptie et de l’abjection !
À la limite du parjure institutionnel, ses propos rances et méphitiques ont ému la majorité de nos compatriotes. Dans une colère feinte, factice et artificielle, trahissant son incapacité à répondre aux rares questions "difficiles" qui lui étaient posées, le Président de la République s’est complu à proférer des menaces puériles et à user d’un discours malsain à l’égard de son prédécesseur, le Président Macky Sall.
Suggérant, sans preuve, que ce dernier agissait dans l’ombre de manière suspecte, Bassirou Diomaye Faye a déshonoré sa fonction. »
La CAVE poursuit : « Sans la moindre preuve, sans même une allusion à un fait tangible étayant ses accusations, le Président Faye a tenté d’inoculer dans les consciences citoyennes une dose de diffamation contre le nom de Macky Sall. On retrouve ce même dilettantisme primaire dans ses attaques agressives contre la Justice !
Pourtant, c’est la nouvelle "Bajen" de MOS (M. Ousmane Sonko) qui a le mieux exprimé le désarroi du pouvoir face à Macky Sall. En effet, l’accession du Président Macky Sall au Conseil d’Administration de la Fondation MO Ibrahim a provoqué l’urticaire d’Adja Mimi Rouba Touré, frustrée comme toujours par son statut et son parcours, dont la haine relève désormais de l’obsession pathologique.
Insignifiante sur la scène internationale – domaine où ses nouveaux alliés brillent par leurs insuffisances –, elle vit doublement mal le prestige, le leadership et le rayonnement grandissant de Macky Sall, reconnu sur tous les continents.
Adja Mimi Rouba Touré, qui prétend aujourd’hui avoir cru à un "poisson d’avril", semble avoir épuisé les insultes du réel pour se réfugier dans le virtuel, devenant ainsi un "Poison d’Avril".
Comme le disait Talleyrand : "Tout ce qui est excessif est insignifiant." Cette vérité s’applique à elle, dont les outrances ne suscitent que mépris. Nos compatriotes, dotés d’une mémoire minimale, constatent son ingratitude envers son bienfaiteur, Macky Sall, qui reste digne et continue d’accroître son influence mondiale. »
La déclaration conclut : « Fort d’une haute culture politique, il se souvient de la maxime d’Alexandre Dumas : "Il est des services si grands qu’on ne les paie que par l’ingratitude." En termes plus populaires, Adja Mimi Rouba Touré gagnerait à méditer cette sagesse de nos terroirs : "Le plus bavard des perroquets peut s’accorder une minute de silence." »
« Les propos lunaires et ubuesques du Président Bassirou Diomaye Faye (PBDF) lors de sa dernière intervention sont révélateurs de la grave crise de leadership qui handicape lourdement notre pays. Sans retenue, avec une discourtoisie peu amène et étrangère à l’élégance républicaine dont ont témoigné tous ses prédécesseurs, PBDF s’est embourbé dans les méandres de l’ineptie et de l’abjection !
À la limite du parjure institutionnel, ses propos rances et méphitiques ont ému la majorité de nos compatriotes. Dans une colère feinte, factice et artificielle, trahissant son incapacité à répondre aux rares questions "difficiles" qui lui étaient posées, le Président de la République s’est complu à proférer des menaces puériles et à user d’un discours malsain à l’égard de son prédécesseur, le Président Macky Sall.
Suggérant, sans preuve, que ce dernier agissait dans l’ombre de manière suspecte, Bassirou Diomaye Faye a déshonoré sa fonction. »
La CAVE poursuit : « Sans la moindre preuve, sans même une allusion à un fait tangible étayant ses accusations, le Président Faye a tenté d’inoculer dans les consciences citoyennes une dose de diffamation contre le nom de Macky Sall. On retrouve ce même dilettantisme primaire dans ses attaques agressives contre la Justice !
Pourtant, c’est la nouvelle "Bajen" de MOS (M. Ousmane Sonko) qui a le mieux exprimé le désarroi du pouvoir face à Macky Sall. En effet, l’accession du Président Macky Sall au Conseil d’Administration de la Fondation MO Ibrahim a provoqué l’urticaire d’Adja Mimi Rouba Touré, frustrée comme toujours par son statut et son parcours, dont la haine relève désormais de l’obsession pathologique.
Insignifiante sur la scène internationale – domaine où ses nouveaux alliés brillent par leurs insuffisances –, elle vit doublement mal le prestige, le leadership et le rayonnement grandissant de Macky Sall, reconnu sur tous les continents.
Adja Mimi Rouba Touré, qui prétend aujourd’hui avoir cru à un "poisson d’avril", semble avoir épuisé les insultes du réel pour se réfugier dans le virtuel, devenant ainsi un "Poison d’Avril".
Comme le disait Talleyrand : "Tout ce qui est excessif est insignifiant." Cette vérité s’applique à elle, dont les outrances ne suscitent que mépris. Nos compatriotes, dotés d’une mémoire minimale, constatent son ingratitude envers son bienfaiteur, Macky Sall, qui reste digne et continue d’accroître son influence mondiale. »
La déclaration conclut : « Fort d’une haute culture politique, il se souvient de la maxime d’Alexandre Dumas : "Il est des services si grands qu’on ne les paie que par l’ingratitude." En termes plus populaires, Adja Mimi Rouba Touré gagnerait à méditer cette sagesse de nos terroirs : "Le plus bavard des perroquets peut s’accorder une minute de silence." »
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