La sécurité alimentaire a fait l’objet d’échanges entre universitaires et acteurs scientifiques, ce 25 mai, à l’occasion de la 1ère journée scientifique (J3SA1) en prélude de la célébration de la Journée internationale de la sécurité sanitaire des aliments (JISSA) prévue, le 7 juin prochain.
Initiée par la faculté de médecine, de Pharmacie et d’Odonto-stomatologie en partenariat avec l’Ucad et le comité national Codex Alimentarius, la rencontre a permis de débattre sur le thème « des aliments sûrs pour une meilleure santé : apport de la science », afin de mieux sensibiliser les populations à la qualité des aliments à consommer.
Selon l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) qui a été représentée, une (1) personne sur dix (10) tombe malade en consommant des aliments impropres à la consommation et 420 000 en meurent chaque année.
« Lorsque les aliments sont impropres à la consommation, c’est surtout les enfants, les femmes enceintes et les personnes en vulnérabilité qui en paient le lourd tribut et ceci déstabilise aussi notre système de santé (…) Il est important que nous soyons sensibilisés à la qualité de ce que nous avons dans nos assiettes », a souligné, à l’occasion, la représentante résidente de l’OMS, Lucile Imboua.
Ayant une mission de normalisation des produits, le comité national Codex Alimentarius a, pour sa part, posé le problème du contrôle régulier des aliments au Sénégal en insistant sur le manque de moyens pour sécuriser les consommateurs.
« Nous traînons des lacunes. Il nous faut des moyens. Des efforts ont été fait ces deux (2) dernières années. Avec l’appui de la FAO, nous avons pu faire travailler cinq (5) autorités compétentes pour faire des contrôles sur les denrées alimentaires à l’intérieur du pays et voir s’il y’a des contaminants. Les contrôles montrent qu’il y’a des problèmes. C’est pour cela qu’il faut, régulièrement, contrôler et écarter les produits qui posent problème pour la santé des populations », a expliqué le président du comité national Codex Alimentarius, le Pr Amadou Diouf.
Initiée par la faculté de médecine, de Pharmacie et d’Odonto-stomatologie en partenariat avec l’Ucad et le comité national Codex Alimentarius, la rencontre a permis de débattre sur le thème « des aliments sûrs pour une meilleure santé : apport de la science », afin de mieux sensibiliser les populations à la qualité des aliments à consommer.
Selon l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) qui a été représentée, une (1) personne sur dix (10) tombe malade en consommant des aliments impropres à la consommation et 420 000 en meurent chaque année.
« Lorsque les aliments sont impropres à la consommation, c’est surtout les enfants, les femmes enceintes et les personnes en vulnérabilité qui en paient le lourd tribut et ceci déstabilise aussi notre système de santé (…) Il est important que nous soyons sensibilisés à la qualité de ce que nous avons dans nos assiettes », a souligné, à l’occasion, la représentante résidente de l’OMS, Lucile Imboua.
Ayant une mission de normalisation des produits, le comité national Codex Alimentarius a, pour sa part, posé le problème du contrôle régulier des aliments au Sénégal en insistant sur le manque de moyens pour sécuriser les consommateurs.
« Nous traînons des lacunes. Il nous faut des moyens. Des efforts ont été fait ces deux (2) dernières années. Avec l’appui de la FAO, nous avons pu faire travailler cinq (5) autorités compétentes pour faire des contrôles sur les denrées alimentaires à l’intérieur du pays et voir s’il y’a des contaminants. Les contrôles montrent qu’il y’a des problèmes. C’est pour cela qu’il faut, régulièrement, contrôler et écarter les produits qui posent problème pour la santé des populations », a expliqué le président du comité national Codex Alimentarius, le Pr Amadou Diouf.
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