En tournée de deux jours dans la région de Kolda (14 et 15 mai), le SG du syndicat autonome de l’enseignement moyen et secondaire Saourou Sène invite l’État au respect des engagements du mois de mai. Ainsi, il estime que tout « manquement à ces engagements conduirait à des perturbations » du système éducatif. Mais si l’État respecte ses engagements, le climat sera « apaisé avec une volonté des enseignants de participer à la réforme des programmes scolaires. »
À l’en croire, « la fin du mois de mai est celle de tous les dangers. C’est pourquoi, les enseignants invitent l’État au respect des accords car tout manquement à ces derniers conduira à des perturbations. » Puis, il précise sans détours : « les enseignants tiennent scrupuleusement au respect du tableau des opérations financières par l’État. Et au cours de notre tournée, j’ai été beaucoup interpellé par les enseignants sur le respect de cette question. Et c’est un appel pressant que je fais au président de la République car je ne doute pas de la volonté de l’État à respecter ses engagements. »
Saourou Sène de rassurer en ces termes : « si le gouvernement respecte ses engagements, nous irons vers un forum de révision de nos programmes scolaires. Et d’ailleurs, nous constatons qu’il y’a beaucoup de choses caduques dans les programmes qui nécessitent une révision. Et les organisations syndicales doivent apporter leur expertise pour l’intérêt de l’école. »
Revenant à la charge, il interpelle l’État : « si on donne des salaires qui ne respectent pas la grille indiquée en sentant que les gens ne sont pas dans cet intervalle, cela signifierait que les engagements ne sont pas respectés. » Selon lui toujours sans langue de bois, « on ne parle plus d’impôts, car c’est le net à percevoir. Tout ce débat nous l’avions vidé avec le gouvernement du Sénégal au cours de nos rencontres. Et pour mieux éclairer la lanterne, nous voudrions aller vers une rencontre destinée à présenter les salaires du mois de mai… »
À l’en croire, « la fin du mois de mai est celle de tous les dangers. C’est pourquoi, les enseignants invitent l’État au respect des accords car tout manquement à ces derniers conduira à des perturbations. » Puis, il précise sans détours : « les enseignants tiennent scrupuleusement au respect du tableau des opérations financières par l’État. Et au cours de notre tournée, j’ai été beaucoup interpellé par les enseignants sur le respect de cette question. Et c’est un appel pressant que je fais au président de la République car je ne doute pas de la volonté de l’État à respecter ses engagements. »
Saourou Sène de rassurer en ces termes : « si le gouvernement respecte ses engagements, nous irons vers un forum de révision de nos programmes scolaires. Et d’ailleurs, nous constatons qu’il y’a beaucoup de choses caduques dans les programmes qui nécessitent une révision. Et les organisations syndicales doivent apporter leur expertise pour l’intérêt de l’école. »
Revenant à la charge, il interpelle l’État : « si on donne des salaires qui ne respectent pas la grille indiquée en sentant que les gens ne sont pas dans cet intervalle, cela signifierait que les engagements ne sont pas respectés. » Selon lui toujours sans langue de bois, « on ne parle plus d’impôts, car c’est le net à percevoir. Tout ce débat nous l’avions vidé avec le gouvernement du Sénégal au cours de nos rencontres. Et pour mieux éclairer la lanterne, nous voudrions aller vers une rencontre destinée à présenter les salaires du mois de mai… »
Autres articles
-
Contrats pétroliers : les jurisprudences Tchad et Niger
-
Accident de Koungheul : Aminata Touré s’incline devant la mémoire des disparus.
-
Mballo Dia Thiam sur la rétention des données sanitaires des syndicalistes : « Les accords sont tout le temps signés mais jamais respectés ! »
-
KOLDA : Les misères des jeunes, des adultes face au jeu de hasard…
-
Syndicat des travailleurs de l’assemblée nationale : La nouvelle SG fixe ses priorités