La situation au Sahel était au menu des échanges entre journalistes et le général le Stephen J. Townsend. Ce dernier, Chef du commandement de pour l’Afrique de l’armée de terre des États-Unis n’a pas caché son inquiétude surtout au Sahel où Daesh et Al Qaïda continuent leur progression et la propagation de leur empire. Et pour juguler ce fléau, il croit tenir la solution, la mise en place de la politique des 3D.
« La racine de l’extrémisme c’est le manque de bonne gouvernance. Nous prônons la mise en place de l’approche des 3D : diplomatie, développement et défense. C’est cette approche dont nous avons besoin pour répondre au problème de l’extrémisme violent. Il y a des groupes de Daesh, d’Al Qaïda qui continuent de s’élargir, de ce déplacement vers les États de la côte avec des attaques récentes en Côte d’Ivoire et au Togo. Ces attaques montrent cette expansion et la partie militaire n’est qu’une partie de la solution au problème. Nous devons avoir une bonne gouvernance et un développement. Les groupes vont profiter de ces lacunes pour s’élargir », tient-il à proposer aux États membres du G5 en proie du terrorisme, mais aussi aux pays qui sont sous leurs menaces.
Car dit-il, « je ne suis pas satisfait de la lutte contre l’extrémisme violent en Afrique de l’Est et de l’Ouest. L'extrémisme continue de se propager à la fois de manière géographique mais également dans son emprise ».
« La racine de l’extrémisme c’est le manque de bonne gouvernance. Nous prônons la mise en place de l’approche des 3D : diplomatie, développement et défense. C’est cette approche dont nous avons besoin pour répondre au problème de l’extrémisme violent. Il y a des groupes de Daesh, d’Al Qaïda qui continuent de s’élargir, de ce déplacement vers les États de la côte avec des attaques récentes en Côte d’Ivoire et au Togo. Ces attaques montrent cette expansion et la partie militaire n’est qu’une partie de la solution au problème. Nous devons avoir une bonne gouvernance et un développement. Les groupes vont profiter de ces lacunes pour s’élargir », tient-il à proposer aux États membres du G5 en proie du terrorisme, mais aussi aux pays qui sont sous leurs menaces.
Car dit-il, « je ne suis pas satisfait de la lutte contre l’extrémisme violent en Afrique de l’Est et de l’Ouest. L'extrémisme continue de se propager à la fois de manière géographique mais également dans son emprise ».
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