Depuis 15 h 30 que les manifestations ont démarré, il semble assez certain que la cible des lanceurs de pierres et brûleurs de pneus demeure les stations d’essence. Un premier groupe de personnes a essayé de s’attaquer d’abord aux environs de 16 heures aux stations qui sont de part et d’autre du rond-point qui sépare Mbacké de Touba. Seulement c’était sans compter avec la promptitude des éléments du GMI qui ont vite dispersé la foule.
À Mbacké, les jeunes ont été explicites. C’est clairement, entre 17 h 30 et 18 heures, qu’ils ont donné le mot d’ordre d’aller brûler la station qui se trouve au niveau du « Passage à niveau ». Là aussi, la riposte des forces de l’ordre a été foudroyante avec une pluie de grenades lacrymogènes projetées et la présence des véhicules blindés qui ont, parfois, feint de foncer sur les manifestants.
La principale difficulté réside dans le fait que les routes qui débouchent sur les artères principales ont été toutes bouchées par les gendarmes alors que la police est généralement sur les lieux de confrontation.
À hauteur de l’arrondissement de Ndame, des jeunes de Pastef attendent fiévreusement leur leader. Ils scandent « heure bi jotna », histoire de rappeler à Ousmane Sonko le temps file et qu’il a une caravane à diriger vers Mbacké.
Au moment où ces lignes sont écrites, plusieurs jeunes ont été arrêtés...
À Mbacké, les jeunes ont été explicites. C’est clairement, entre 17 h 30 et 18 heures, qu’ils ont donné le mot d’ordre d’aller brûler la station qui se trouve au niveau du « Passage à niveau ». Là aussi, la riposte des forces de l’ordre a été foudroyante avec une pluie de grenades lacrymogènes projetées et la présence des véhicules blindés qui ont, parfois, feint de foncer sur les manifestants.
La principale difficulté réside dans le fait que les routes qui débouchent sur les artères principales ont été toutes bouchées par les gendarmes alors que la police est généralement sur les lieux de confrontation.
À hauteur de l’arrondissement de Ndame, des jeunes de Pastef attendent fiévreusement leur leader. Ils scandent « heure bi jotna », histoire de rappeler à Ousmane Sonko le temps file et qu’il a une caravane à diriger vers Mbacké.
Au moment où ces lignes sont écrites, plusieurs jeunes ont été arrêtés...
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