La région médicale de Kolda outille les praticiens de la médecine traditionnelle et les communicateurs traditionnels sur les questions de l’anémie en rapport avec la santé de reproduction. Au nombre d’une quarantaine, ils sont formés sur cet aspect de la santé reproductive afin de lutter efficacement contre l’anémie chez les femmes en âge de procréation et les adolescentes. Cette journée de plaidoyer organisée ce jeudi 24 septembre par la région médicale s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre du projet d’intégration de la nutrition dans les plateformes de santé reproductive des femmes et des adolescentes.
Selon l’enquête EDS MICS de 2011 « 54% des femmes en âge de procréer ont l’anémie dans les trois régions d’intervention du projet à savoir Kolda, Louga et Matam. Cette même enquête révèle que la prévalence de l’anémie est à 56% chez les adolescentes contre 60% chez les femmes en état de grossesse », a rappelé Moustapha Dieng, responsable du Bureau Régional de l’Education et de l’Information pour la Santé (BREIPS).
Les autorités sanitaires de la région comptent beaucoup sur ces acteurs communautaires par la sensibilisation pour éradiquer le phénomène et promouvoir par la même occasion l’éducation nutritionnelle afin d’inverser la tendance indiquée ci-dessus.
Pour réussir cette mission, les participants de cette journée entendent miser sur le partage, au niveau communautaire, des connaissances et messages reçus. Ces acteurs comme les hôpitaux reçoivent du monde. Et c’est pourquoi cette démarche communautaire devrait prospérer pour mettre fin à l’anémie et préserver la santé maternelle et infantile.
Ibrahima Traoré, secrétaire général des praticiens de la médecine traditionnelle de Kolda, de préciser en ces termes : « la sensibilisation de masse pour une éducation nutritionnelle de qualité doit être notre arme de tous les jours pour aider nos communautés, notamment les femmes et les adolescentes, à vivre sans anémie... »
Selon l’enquête EDS MICS de 2011 « 54% des femmes en âge de procréer ont l’anémie dans les trois régions d’intervention du projet à savoir Kolda, Louga et Matam. Cette même enquête révèle que la prévalence de l’anémie est à 56% chez les adolescentes contre 60% chez les femmes en état de grossesse », a rappelé Moustapha Dieng, responsable du Bureau Régional de l’Education et de l’Information pour la Santé (BREIPS).
Les autorités sanitaires de la région comptent beaucoup sur ces acteurs communautaires par la sensibilisation pour éradiquer le phénomène et promouvoir par la même occasion l’éducation nutritionnelle afin d’inverser la tendance indiquée ci-dessus.
Pour réussir cette mission, les participants de cette journée entendent miser sur le partage, au niveau communautaire, des connaissances et messages reçus. Ces acteurs comme les hôpitaux reçoivent du monde. Et c’est pourquoi cette démarche communautaire devrait prospérer pour mettre fin à l’anémie et préserver la santé maternelle et infantile.
Ibrahima Traoré, secrétaire général des praticiens de la médecine traditionnelle de Kolda, de préciser en ces termes : « la sensibilisation de masse pour une éducation nutritionnelle de qualité doit être notre arme de tous les jours pour aider nos communautés, notamment les femmes et les adolescentes, à vivre sans anémie... »
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