Le Commissariat Central de Kaolack a mené, ce 17 décembre 2025, une vaste opération de contrôle dans les quartiers de Thiofack et Bongré, mettant à nu un réseau de production et de distribution clandestines de produits de boulangerie et de pâtisserie. L’intervention s’est soldée par l’interpellation de cinq individus, poursuivis pour de graves infractions mettant en péril la santé publique.
Des infractions multiples et lourdes de conséquences
Selon les services de police, l’opération visait à sanctionner plusieurs manquements flagrants à la réglementation en vigueur, notamment :
• la violation des règles de production et de distribution des denrées alimentaires ;
• le défaut d’agrément technique et l’absence d’autorisation administrative d’ouverture ;
• la mise en danger de la vie d’autrui, par la commercialisation de produits potentiellement corrompus ou toxiques ;
• le non-respect des normes de salubrité dans les locaux de préparation.
Des conditions de production alarmantes
Les investigations menées sur les différents sites ont révélé un tableau particulièrement inquiétant. Les unités contrôlées opéraient dans une illégalité totale, sans aucun cadre légal, ni agrément technique, ni inscription au Registre du Commerce et du Crédit Mobilier (RCCM).
À cela s’ajoutaient des conditions d’insalubrité notoire, incompatibles avec toute activité liée à l’alimentation humaine. Les locaux inspectés ne répondaient à aucune norme d’hygiène, exposant ainsi les consommateurs à des risques sanitaires majeurs.
Un danger sanitaire et environnemental
Autre élément aggravant relevé par les enquêteurs : l’utilisation du charbon de bois comme combustible principal, en violation flagrante des normes de sécurité incendie et de protection de l’environnement. Une pratique jugée particulièrement dangereuse, tant pour les travailleurs que pour les riverains.
Mesures immédiates pour protéger les populations
Face à l’urgence sanitaire, les autorités ont décidé :
• l’arrêt immédiat de toutes les activités de production ;
• la mise sous scellés des sites clandestins ;
• le placement en garde à vue des cinq mis en cause.
L’enquête se poursuit en étroite collaboration avec les services régionaux du Commerce et de l’Hygiène, afin d’identifier d’éventuelles complicités et d’empêcher toute reprise de ces activités illicites.
Des infractions multiples et lourdes de conséquences
Selon les services de police, l’opération visait à sanctionner plusieurs manquements flagrants à la réglementation en vigueur, notamment :
• la violation des règles de production et de distribution des denrées alimentaires ;
• le défaut d’agrément technique et l’absence d’autorisation administrative d’ouverture ;
• la mise en danger de la vie d’autrui, par la commercialisation de produits potentiellement corrompus ou toxiques ;
• le non-respect des normes de salubrité dans les locaux de préparation.
Des conditions de production alarmantes
Les investigations menées sur les différents sites ont révélé un tableau particulièrement inquiétant. Les unités contrôlées opéraient dans une illégalité totale, sans aucun cadre légal, ni agrément technique, ni inscription au Registre du Commerce et du Crédit Mobilier (RCCM).
À cela s’ajoutaient des conditions d’insalubrité notoire, incompatibles avec toute activité liée à l’alimentation humaine. Les locaux inspectés ne répondaient à aucune norme d’hygiène, exposant ainsi les consommateurs à des risques sanitaires majeurs.
Un danger sanitaire et environnemental
Autre élément aggravant relevé par les enquêteurs : l’utilisation du charbon de bois comme combustible principal, en violation flagrante des normes de sécurité incendie et de protection de l’environnement. Une pratique jugée particulièrement dangereuse, tant pour les travailleurs que pour les riverains.
Mesures immédiates pour protéger les populations
Face à l’urgence sanitaire, les autorités ont décidé :
• l’arrêt immédiat de toutes les activités de production ;
• la mise sous scellés des sites clandestins ;
• le placement en garde à vue des cinq mis en cause.
L’enquête se poursuit en étroite collaboration avec les services régionaux du Commerce et de l’Hygiène, afin d’identifier d’éventuelles complicités et d’empêcher toute reprise de ces activités illicites.
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