Lors de sa récente conférence de presse, El Malick Ndiaye, coordonnateur du parti Pastef, a ouvertement critiqué les nouveaux opposants politiques, se basant sur les chiffres alarmants relatifs à l'endettement du pays et à la gestion des fonds publics. Selon lui, cette transparence est une caractéristique fondamentale du Pastef qui n'a jamais eu l'intention de cacher quoi que ce soit à son peuple.
Il a souligné que l'hostilité à son égard émanerait principalement de ceux qui, selon lui, avaient mal géré les ressources publiques et qui tentent désormais de détourner l'attention par des attaques personnelles. "Ces politiciens veulent éliminer le président Ousmane Sonko non pas par crainte de sa candidature, mais pour le disqualifier aux yeux des Sénégalais."
La critique s'est intensifiée avec une attaque ciblée contre le journaliste Madiambal Diagne. El Malick a insinué que certains journalistes, sous prétexte d'informer le public, avaient en réalité franchi la ligne en s'engageant dans des activités politiques. "Ces soi-disant journalistes qui s'impliquent dans les listes électorales nuisent à la crédibilité de leur profession", a-t-il déclaré, soulignant que leur engagement politique les exclut de toute protection liée à la liberté d'expression.
Cette intervention soulève des questions sur la relation entre le journalisme et l'engagement politique au Sénégal. La déontologie journalistique impose une certaine distance par rapport à la politique, afin de garantir une couverture objective et impartiale. El Malick semble donc revendiquer une séparation stricte entre le rôle des journalistes et celui des acteurs politiques, appelant à une réflexion sur l'éthique et l'intégrité dans les médias.
Il a souligné que l'hostilité à son égard émanerait principalement de ceux qui, selon lui, avaient mal géré les ressources publiques et qui tentent désormais de détourner l'attention par des attaques personnelles. "Ces politiciens veulent éliminer le président Ousmane Sonko non pas par crainte de sa candidature, mais pour le disqualifier aux yeux des Sénégalais."
La critique s'est intensifiée avec une attaque ciblée contre le journaliste Madiambal Diagne. El Malick a insinué que certains journalistes, sous prétexte d'informer le public, avaient en réalité franchi la ligne en s'engageant dans des activités politiques. "Ces soi-disant journalistes qui s'impliquent dans les listes électorales nuisent à la crédibilité de leur profession", a-t-il déclaré, soulignant que leur engagement politique les exclut de toute protection liée à la liberté d'expression.
Cette intervention soulève des questions sur la relation entre le journalisme et l'engagement politique au Sénégal. La déontologie journalistique impose une certaine distance par rapport à la politique, afin de garantir une couverture objective et impartiale. El Malick semble donc revendiquer une séparation stricte entre le rôle des journalistes et celui des acteurs politiques, appelant à une réflexion sur l'éthique et l'intégrité dans les médias.
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