L’accès aux barèmes officiels des prix ou aux documents nécessaires aux démarches est plus difficile en Afrique subsaharienne, selon le rapport Doing Business 2012, qui met en exergue le rôle clé joué par la transparence et l’accès à l’information dans les réformes économiques.
Des données supplémentaires montrent que l’accès à l’information sur les réglementations des affaires peut aider les entrepreneurs, souligne le rapport publié mercredi sous le titre : ‘’Entreprendre dans un monde plus transparent’’.
Il relève que ‘’l’’accès aux barèmes officiels des prix ou aux documents nécessaires aux démarches est plus facile dans les économies de l’OCDE (Organisation de coopération et de développement économiques) et plus difficile en Afrique subsaharienne ou dans la région Moyen-Orient et Afrique du Nord’’.
‘’Plus de 100 économies utilisent des systèmes électroniques pour des services comme l’enregistrement des entreprises, les dédouanements et la soumission de documents juridiques’’, fait savoir Sylvia Solf, auteur principal du rapport.
‘’Cela, dit-elle, permet aux entreprises et aux gouvernements d’économiser du temps et de l’argent. Ce sont aussi de nouvelles opportunités d’améliorer la transparence.’’
Le rapport Doing Business 2012 de la Société financière internationale (SFI), organe chargé du secteur privé à la Banque mondiale (BM), évalue les réglementations sur les entreprises locales dans 183 économies et les classe selon 10 domaines de la réglementation des affaires, tels que la création d’entreprise, le solutionnement de l’insolvabilité ou le commerce transfrontalier.
Le rapport 2012 établit que les gouvernements de 125 économies parmi les 183 étudiées ont mis en œuvre un total de 245 réformes de la réglementation des affaires, soit 13% de plus qu’il y en avait dans l’édition précédente.
En Afrique subsaharienne, un nombre record de 36 économies sur 46 ont amélioré leurs réglementations des affaires cette année.
( APS )
Des données supplémentaires montrent que l’accès à l’information sur les réglementations des affaires peut aider les entrepreneurs, souligne le rapport publié mercredi sous le titre : ‘’Entreprendre dans un monde plus transparent’’.
Il relève que ‘’l’’accès aux barèmes officiels des prix ou aux documents nécessaires aux démarches est plus facile dans les économies de l’OCDE (Organisation de coopération et de développement économiques) et plus difficile en Afrique subsaharienne ou dans la région Moyen-Orient et Afrique du Nord’’.
‘’Plus de 100 économies utilisent des systèmes électroniques pour des services comme l’enregistrement des entreprises, les dédouanements et la soumission de documents juridiques’’, fait savoir Sylvia Solf, auteur principal du rapport.
‘’Cela, dit-elle, permet aux entreprises et aux gouvernements d’économiser du temps et de l’argent. Ce sont aussi de nouvelles opportunités d’améliorer la transparence.’’
Le rapport Doing Business 2012 de la Société financière internationale (SFI), organe chargé du secteur privé à la Banque mondiale (BM), évalue les réglementations sur les entreprises locales dans 183 économies et les classe selon 10 domaines de la réglementation des affaires, tels que la création d’entreprise, le solutionnement de l’insolvabilité ou le commerce transfrontalier.
Le rapport 2012 établit que les gouvernements de 125 économies parmi les 183 étudiées ont mis en œuvre un total de 245 réformes de la réglementation des affaires, soit 13% de plus qu’il y en avait dans l’édition précédente.
En Afrique subsaharienne, un nombre record de 36 économies sur 46 ont amélioré leurs réglementations des affaires cette année.
( APS )
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