À Kaolack, les mariages précoces sont encore très visibles dans certaines localités, notamment dans le département. Une enquête menée par Enda Jeunesse Action a permis de déceler quelques zones d'ombre dans les communes de Sibassor et Kahone. Il a été ainsi enregistré quelques cas de mariages précoces chez les jeunes filles que leurs parents continuent à donner en mariage avant l'âge de 18 ans. " Nous avons invité les maîtres coraniques et les imams pour une restitution des résultats d'une enquête sur les mariages précoces, mais aussi pour recueillir leurs avis sur ce phénomène et enfin essayer de les sensibiliser afin qu'ils portent le plaidoyer au niveau des quartiers...", a fait savoir un des animateurs de Enda Jeunesse Action, Fary Ndao. Avant d'ajouter : "certes beaucoup d'efforts ont été faits par l'État et les organisations non gouvernementales, mais il faut reconnaître que le phénomène est toujours visible sur le terrain..."
S'agissant du fléau des enfants de la rue, l'Ong a pu mettre à nu quelques cas de viol chez des enfants. " Nous avions recueilli 21 enfants au niveau de kaolack. Àpres écoute, certains d'entre eux ont déclaré avoir été victimes de cas de viols par leurs aînés. D'ailleurs, ils ont trouvé un nom pour ce genre de pratique, ils ont l'habitude de l'appeler " Grec" au moment de l'acte sexuel", a ajouté Mr Ndao.
Dans la région de Kaolack, les organisations qui s'occupent de la protection des enfants sont souvent confrontées au manque de volonté de certains parents liés à la garde de leurs enfants. Et quand le retour en famille est souvent assuré par une structure, ce sont les mêmes enfants que les animateurs retrouvent plus tard dans la rue. Les Serigne Daara" eux, pointent du doigt les parents qui fuient leurs responsabilités par rapport à l'éducation de leurs enfants...
S'agissant du fléau des enfants de la rue, l'Ong a pu mettre à nu quelques cas de viol chez des enfants. " Nous avions recueilli 21 enfants au niveau de kaolack. Àpres écoute, certains d'entre eux ont déclaré avoir été victimes de cas de viols par leurs aînés. D'ailleurs, ils ont trouvé un nom pour ce genre de pratique, ils ont l'habitude de l'appeler " Grec" au moment de l'acte sexuel", a ajouté Mr Ndao.
Dans la région de Kaolack, les organisations qui s'occupent de la protection des enfants sont souvent confrontées au manque de volonté de certains parents liés à la garde de leurs enfants. Et quand le retour en famille est souvent assuré par une structure, ce sont les mêmes enfants que les animateurs retrouvent plus tard dans la rue. Les Serigne Daara" eux, pointent du doigt les parents qui fuient leurs responsabilités par rapport à l'éducation de leurs enfants...
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