À l’occasion de la Journée internationale de la femme rurale, la Fondation Mastercard et la Fondation Batonga ont organisé une conférence de presse pour mettre en lumière le rôle clé des jeunes femmes rurales dans le développement économique de l’Afrique. Au cœur de cette rencontre : la présentation de l’étude "Young Women in Africa", qui révèle un potentiel économique considérable.
Selon ce rapport, les femmes africaines pourraient générer 287 milliards de dollars supplémentaires de PIB d’ici 2030 et contribuer à la création de 23 millions d’emplois sur le continent.
À travers 103 cercles d'affaires et 42 clubs de jeunes filles implantés dans les régions de Kolda et Sédhiou, la Fondation Batonga encadre plus de 5 500 jeunes femmes issues de zones rurales. Ces dernières sont engagées dans des activités génératrices de revenus telles que le maraîchage, l’aviculture, la transformation de céréales ou encore la production de savon. « Nous sommes ici pour donner la parole à ces femmes et montrer les résultats concrets obtenus sur le terrain », a déclaré Ndeye Absa Guèye, chargée de programme à la Fondation Batonga. Elle souligne que plus de 3 000 jeunes femmes âgées de 18 à 35 ans participent à la création d’une économie circulaire dans des localités jusque-là dépourvues d’opportunités économiques viables.
La Fondation Batonga, récemment implantée au Sénégal, envisage de se rapprocher du gouvernement pour partager ses résultats. « Nous allons présenter l’impact de notre travail, car il est essentiel que les autorités soient informées des transformations positives que vivent ces communautés grâce à ces initiatives », a ajouté Ndèye Absa Guèye. Cette mobilisation est un pas de plus vers une autonomisation durable des femmes rurales, qui deviennent, jour après jour, des actrices à part entière du développement socio-économique du Sénégal et du continent africain.
À travers 103 cercles d'affaires et 42 clubs de jeunes filles implantés dans les régions de Kolda et Sédhiou, la Fondation Batonga encadre plus de 5 500 jeunes femmes issues de zones rurales. Ces dernières sont engagées dans des activités génératrices de revenus telles que le maraîchage, l’aviculture, la transformation de céréales ou encore la production de savon. « Nous sommes ici pour donner la parole à ces femmes et montrer les résultats concrets obtenus sur le terrain », a déclaré Ndeye Absa Guèye, chargée de programme à la Fondation Batonga. Elle souligne que plus de 3 000 jeunes femmes âgées de 18 à 35 ans participent à la création d’une économie circulaire dans des localités jusque-là dépourvues d’opportunités économiques viables.
La Fondation Batonga, récemment implantée au Sénégal, envisage de se rapprocher du gouvernement pour partager ses résultats. « Nous allons présenter l’impact de notre travail, car il est essentiel que les autorités soient informées des transformations positives que vivent ces communautés grâce à ces initiatives », a ajouté Ndèye Absa Guèye. Cette mobilisation est un pas de plus vers une autonomisation durable des femmes rurales, qui deviennent, jour après jour, des actrices à part entière du développement socio-économique du Sénégal et du continent africain.
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