DAKARACTU.COM «La ville de Guédiawaye est gravement menacée par une mauvaise gestion de ses administrateurs politiques qui pensent pouvoir régler tout avec l’argent!», a déclaré le coordonnateur du Front du refus. C’est pour cette raison que Mr. Alpha Thiam et ses camarades trouvent inacceptable qu’une association de «nouveaux riches» et de mandataires qui, au terme de leur magistère ont un bilan négatif, veulent reprendre les rênes de la commune aux fins, pour d’une part, continuer une gestion opaque et d’autre part, "vassaliser" leur cité. «En bref, nous manquons de tout et souffrons de tout, Guédiawaye est laissé pour compte sur le plan du développement», a stigmatisé Mr. Thiam. Ses camarades et lui se posent des questions sur la raison « qui expliquerait la convoitise de Guédiawaye», le fait que «Malick Gackou ne se présente pas alors que les populations l’attendaient». «Les populations de Guédiawaye n’acceptent pas d’être des dindons de farce», a-t- il relevé par ailleurs.
«Il est évident pour tout observateur averti de comprendre le sens de notre combat», a soutenu Mr. Papa Maguette Samb, membre du mouvement. Il s’agit, explique-t-il, de l’affirmation d’une émergence nouvelle citoyenne contre le parachutage d’hommes politiques en manque de base électorale. Les membres de ce mouvement refusent «l’achat de conscience» et demandent aux autorités de s’intéresser à l’argent qui circule dans la banlieue en cette période préélectorale.
Selon eux, le Front du refus regroupe des citoyens sénégalais soucieux de l’émergence d’une citoyenneté consciente des enjeux et de la nécessité de s’impliquer tous positivement dans la gestion de leur cité, tant sur le plan local que sur le plan national.
«Il est évident pour tout observateur averti de comprendre le sens de notre combat», a soutenu Mr. Papa Maguette Samb, membre du mouvement. Il s’agit, explique-t-il, de l’affirmation d’une émergence nouvelle citoyenne contre le parachutage d’hommes politiques en manque de base électorale. Les membres de ce mouvement refusent «l’achat de conscience» et demandent aux autorités de s’intéresser à l’argent qui circule dans la banlieue en cette période préélectorale.
Selon eux, le Front du refus regroupe des citoyens sénégalais soucieux de l’émergence d’une citoyenneté consciente des enjeux et de la nécessité de s’impliquer tous positivement dans la gestion de leur cité, tant sur le plan local que sur le plan national.
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