Et l’affaire a ressemblé à un règlement de comptes, quand Rachid Hamoulene, s’est levé pour parler, sans même attendre l’autorisation de notre confrère, média officier de la CAF.
Dans la foulée, le visage fermé et d'humeur peu badine, Aliou Goloko dira : « Si vous ne levez pas la main, je ne vous donne pas la parole. Soit vous restez, soit vous sortez de la salle. »
« Alors vous vous asseyez ou vous sortez de la salle. Je donne la parole à qui je veux. Il n'y a pas de droit d'aînesse. Ici, tout le monde est journaliste », a insisté Goloko. Le ton est monté d’un cran.
La tension était palpable jusqu’à ce que l’entraîneur du Raja, Lassaad Chabbi, s’en mêle. « Mais, il est là devant toi. Alors moi, je vais rentrer », a-t-il dit avant de quitter le présidium, en colère.
Le refus du média officier de donner la parole au journaliste algérien n'a pas du tout plu au coach marocain du Raja, qui a ruminé sa colère contre Aliou Goloko, qui n’a pas voulu l’écouter.
L'intervention des uns et des autres n'a pas réussi à détendre l'entraîneur marocain puisqu'il a quitté précipitamment la conférence de presse au bout de quelques minutes. Une attitude qui mettait en relief la tension autour de la salle de conférence du stade de l’Amitié à Cotonou au Bénin.
« T’es qui, toi ? Tu n’es pas le président de la CAF. Il (journaliste algérien) a demandé trois fois la parole », dira le coach marocain à Goloko. Dans les échanges houleux, ce dernier a été traité de « raciste » par le reporter venu d’Algérie.
Joint par Dakaractu, Aliou Goloko informe que l’incident a démarré sur la pelouse du stade de l’Amitié à Cotonou au Bénin, quand le journaliste algérien a voulu filmer avec son téléphone portable la remise de trophée. Le portable de ce dernier sera saisi par les officiels de la Confédération africaine de football.
L'affaire a fait grand bruit au niveau de l’instance africaine du football, qui « a ouvert une enquête administrative », selon le journaliste sénégalais. L’on apprend que les différentes parties seront entendues en interrogatoire. En attendant, sur les réseaux sociaux, les commentaires vont bon train. Nous y reviendrons….
Dans la foulée, le visage fermé et d'humeur peu badine, Aliou Goloko dira : « Si vous ne levez pas la main, je ne vous donne pas la parole. Soit vous restez, soit vous sortez de la salle. »
« Alors vous vous asseyez ou vous sortez de la salle. Je donne la parole à qui je veux. Il n'y a pas de droit d'aînesse. Ici, tout le monde est journaliste », a insisté Goloko. Le ton est monté d’un cran.
La tension était palpable jusqu’à ce que l’entraîneur du Raja, Lassaad Chabbi, s’en mêle. « Mais, il est là devant toi. Alors moi, je vais rentrer », a-t-il dit avant de quitter le présidium, en colère.
Le refus du média officier de donner la parole au journaliste algérien n'a pas du tout plu au coach marocain du Raja, qui a ruminé sa colère contre Aliou Goloko, qui n’a pas voulu l’écouter.
L'intervention des uns et des autres n'a pas réussi à détendre l'entraîneur marocain puisqu'il a quitté précipitamment la conférence de presse au bout de quelques minutes. Une attitude qui mettait en relief la tension autour de la salle de conférence du stade de l’Amitié à Cotonou au Bénin.
« T’es qui, toi ? Tu n’es pas le président de la CAF. Il (journaliste algérien) a demandé trois fois la parole », dira le coach marocain à Goloko. Dans les échanges houleux, ce dernier a été traité de « raciste » par le reporter venu d’Algérie.
Joint par Dakaractu, Aliou Goloko informe que l’incident a démarré sur la pelouse du stade de l’Amitié à Cotonou au Bénin, quand le journaliste algérien a voulu filmer avec son téléphone portable la remise de trophée. Le portable de ce dernier sera saisi par les officiels de la Confédération africaine de football.
L'affaire a fait grand bruit au niveau de l’instance africaine du football, qui « a ouvert une enquête administrative », selon le journaliste sénégalais. L’on apprend que les différentes parties seront entendues en interrogatoire. En attendant, sur les réseaux sociaux, les commentaires vont bon train. Nous y reviendrons….
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