La Confédération pour la Démocratie et le Socialisme (CDS) n’approuve pas la première réaction du Premier ministre, Ousmane Sonko, à l’encontre des magistrats. En fait, elle qualifie cela de « légèreté de ton et excès d’apparat », estimant que le Premier ministre trahit l’exigence de hauteur républicaine.
Dans ce contexte, « la CDS dénonce avec la plus grande fermeté le comportement désinvolte, provocateur et outrageusement méprisant d’un Premier ministre qui, au lieu d’incarner la mesure et la dignité qu’exige sa fonction, se complaît dans les menaces à répétition, les invectives permanentes et l’escalade verbale ».
En outre, la CDS estime que « L’injure n’est pas un mode de gouvernance. Ce Premier ministre s’est récemment illustré par des propos insultants à l’égard des magistrats, remettant en cause, avec une légèreté consternante, la crédibilité d’une institution garante de l’équilibre républicain ».
« À quoi s’ajoute une frénésie de déplacements en jet privé, effectués dans une opacité totale, sans la moindre explication quant aux modalités de prise en charge financière. Ce qui suscite, à juste titre, l’indignation d’une opinion publique plus que jamais confrontée à la dureté du quotidien, et à l’insupportable paradoxe des reniements et revirements des nouvelles autorités qui, dans l’opposition, avaient promis monts et merveilles aux populations, jeunes en particulier.
Ce cumul de désinvolture verbale, de mépris des institutions, de remise en question de ses propres engagements, et d’indécence ostentatoire traduit une conception inquiétante du pouvoir aux antipodes des exigences d’éthique, de retenue et de responsabilité que requiert l’exercice de la plus haute fonction gouvernementale. »
Dans ce contexte, « la CDS dénonce avec la plus grande fermeté le comportement désinvolte, provocateur et outrageusement méprisant d’un Premier ministre qui, au lieu d’incarner la mesure et la dignité qu’exige sa fonction, se complaît dans les menaces à répétition, les invectives permanentes et l’escalade verbale ».
En outre, la CDS estime que « L’injure n’est pas un mode de gouvernance. Ce Premier ministre s’est récemment illustré par des propos insultants à l’égard des magistrats, remettant en cause, avec une légèreté consternante, la crédibilité d’une institution garante de l’équilibre républicain ».
« À quoi s’ajoute une frénésie de déplacements en jet privé, effectués dans une opacité totale, sans la moindre explication quant aux modalités de prise en charge financière. Ce qui suscite, à juste titre, l’indignation d’une opinion publique plus que jamais confrontée à la dureté du quotidien, et à l’insupportable paradoxe des reniements et revirements des nouvelles autorités qui, dans l’opposition, avaient promis monts et merveilles aux populations, jeunes en particulier.
Ce cumul de désinvolture verbale, de mépris des institutions, de remise en question de ses propres engagements, et d’indécence ostentatoire traduit une conception inquiétante du pouvoir aux antipodes des exigences d’éthique, de retenue et de responsabilité que requiert l’exercice de la plus haute fonction gouvernementale. »
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