Le Président de l’IRA, Biram Abeid n’en démord toujours pas avec le régime du Président Mauritanien Abdel Aziz. Ainsi, dénonce-t-il, dans une note parvenu à Dakaractu, « les séances de la mascarade de procès intenté contre les militants d'IRA (13+10) pour des chefs d'accusation artificiellement liés aux événements dits de la "Gazra de Ould Bouamatou" (affrontements entre populations en passe d'être expulsées du centre ville et forces de l'ordre) ont repris. A travers, ce grossier montage policier, critique Abeid, l'Etat mauritanien tente de dissimuler sa véritable nature de machine d'exclusion raciste et esclavagiste dirigée contre les Hratine. Il essaye de détourner la lumière des projecteurs de la répression systématique par laquelle il cible cette communauté en créant de toutes pièces cette diversion de procès contre IRA alors que cette dernière n'y est liée ni de près ni de loin. Aujourd'hui a comparu devant le juge d'instruction l'un des dirigeants les plus emblématique et les plus tenaces d'IRA à savoir Issa Ould Ali.
«Aujourd'hui, 9 militants souffrent de douloureuses fractures aux bras, aux mains et aux pieds qui risquent de s'infecter et de connaitre de graves complications. Il s'agit de: Elhadj Ould Eliid, Cheikh Vall, Koumba Ndaw, Kamara Moussa, Sabbar Ould El Houssein, Ghamou Mint Achour, Jemal Mint Achour, Samba Diagana et Ahmedou Ould Kharrachi », dénonce-t-on. A ces blessures visibles s'ajoutent les nombreuses ratonnades sans justification, constate les camarades de Biram, les militants de l’IRA ont subi des arrestations extrajudiciaires et d'incarcérations souvent dans des lieux inconnus pendant des durées inconnues.
Dans la même logique, Biram Abeid et ses amis fustigent avec véhémence les arrestations et les brutalités exercées à l'encontre des militants d'IRA tout en affirmant que leur multiplication ne fera que décupler notre détermination à combattre l'arbitraire et à défendre les prisonniers d'opinion et demandent aux prévenus et à leur de défense de cesser d'interagir avec la Cour tant que la police continue à réprimer les militants d'IRA et leurs familles pour les empêcher de manifester pacifiquement devant le Palais de justice et de venir assister, à l'intérieur de la salle d'audience, au procès. Les militants d'IRA sont des prisonniers d'opinion et ont droit à un procès publique, juste et équitable.
«Aujourd'hui, 9 militants souffrent de douloureuses fractures aux bras, aux mains et aux pieds qui risquent de s'infecter et de connaitre de graves complications. Il s'agit de: Elhadj Ould Eliid, Cheikh Vall, Koumba Ndaw, Kamara Moussa, Sabbar Ould El Houssein, Ghamou Mint Achour, Jemal Mint Achour, Samba Diagana et Ahmedou Ould Kharrachi », dénonce-t-on. A ces blessures visibles s'ajoutent les nombreuses ratonnades sans justification, constate les camarades de Biram, les militants de l’IRA ont subi des arrestations extrajudiciaires et d'incarcérations souvent dans des lieux inconnus pendant des durées inconnues.
Dans la même logique, Biram Abeid et ses amis fustigent avec véhémence les arrestations et les brutalités exercées à l'encontre des militants d'IRA tout en affirmant que leur multiplication ne fera que décupler notre détermination à combattre l'arbitraire et à défendre les prisonniers d'opinion et demandent aux prévenus et à leur de défense de cesser d'interagir avec la Cour tant que la police continue à réprimer les militants d'IRA et leurs familles pour les empêcher de manifester pacifiquement devant le Palais de justice et de venir assister, à l'intérieur de la salle d'audience, au procès. Les militants d'IRA sont des prisonniers d'opinion et ont droit à un procès publique, juste et équitable.
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