L’Association des Éditeurs et Professionnels de la presse en ligne (APPEL) apprenant l’arrestation ce mercredi du journaliste Khalil Kamara, membre de la rédaction de Senego depuis 2016.
L’APPEL demande la libération du confrère Khalil Kamara qui n’est pas auteur de l’article incriminé et rappelle qu’il s’agit d’une contribution signée.
L’association des éditeurs de la presse en ligne regrette cette propension de l’Etat du Sénégal à placer aussi facilement des journalistes en détention. Elle considère que depuis quasiment un an, près d’une dizaine de journalistes ont été inquiétés judiciairement pour des faits qui auraient pu être pris en charge par le Conseil pour le Respect de l’Ethique et de la Déontologie dans les Médias (CORED) qui, précisent les éditeurs, tire ses prérogatives du code de la presse, voté en 2017.
L’APPEL, estime que la presse se bat pour renforcer les mécanismes d’auto régulation et de gestion des crises en son sein avec l’aide de certaines structures de l’Etat, c’est bien pour éviter l’emprisonnement tout azimut qui nuit gravement à l’image du Sénégal sur le plan international. « Non seulement, tout ceci est contraire aux nombreux traités régulièrement ratifiés par le Sénégal, mais aussi cela va continuer à faire chuter notre pays dans le classement mondial annuel de la liberté de la presse de Reporters Sans Frontière (RSF) » précise le communiqué.
Les Éditeurs de la presse en ligne sollicitent la bienveillance des autorités judiciaires sur l’affaire Khalil Kamara. Ils sont convaincus que l’emprisonnement n’est pas une solution aux problèmes actuels des médias. S’ils se sont engagés pour des Assises, c’est pour espérer des solutions structurelles et durables pour ce secteur de la presse en difficulté comme toute la société Sénégalaise.
APPEL s’engage ainsi avec la CAP à travailler pour renforcer les mécanismes internes de professionnalisme. C’est ainsi qu’elle appelle de tous ses vœux à l’application du dernier alinéa de l’article 177 du Code de la presse qui promeut la certification des contenus dans la presse en ligne.
Pour rappel, le journaliste de Senego est poursuivi pour « diffusion de fausses nouvelles, diffamation, outrage à un corps constitué et offense au chef de l’Etat ».
L’APPEL demande la libération du confrère Khalil Kamara qui n’est pas auteur de l’article incriminé et rappelle qu’il s’agit d’une contribution signée.
L’association des éditeurs de la presse en ligne regrette cette propension de l’Etat du Sénégal à placer aussi facilement des journalistes en détention. Elle considère que depuis quasiment un an, près d’une dizaine de journalistes ont été inquiétés judiciairement pour des faits qui auraient pu être pris en charge par le Conseil pour le Respect de l’Ethique et de la Déontologie dans les Médias (CORED) qui, précisent les éditeurs, tire ses prérogatives du code de la presse, voté en 2017.
L’APPEL, estime que la presse se bat pour renforcer les mécanismes d’auto régulation et de gestion des crises en son sein avec l’aide de certaines structures de l’Etat, c’est bien pour éviter l’emprisonnement tout azimut qui nuit gravement à l’image du Sénégal sur le plan international. « Non seulement, tout ceci est contraire aux nombreux traités régulièrement ratifiés par le Sénégal, mais aussi cela va continuer à faire chuter notre pays dans le classement mondial annuel de la liberté de la presse de Reporters Sans Frontière (RSF) » précise le communiqué.
Les Éditeurs de la presse en ligne sollicitent la bienveillance des autorités judiciaires sur l’affaire Khalil Kamara. Ils sont convaincus que l’emprisonnement n’est pas une solution aux problèmes actuels des médias. S’ils se sont engagés pour des Assises, c’est pour espérer des solutions structurelles et durables pour ce secteur de la presse en difficulté comme toute la société Sénégalaise.
APPEL s’engage ainsi avec la CAP à travailler pour renforcer les mécanismes internes de professionnalisme. C’est ainsi qu’elle appelle de tous ses vœux à l’application du dernier alinéa de l’article 177 du Code de la presse qui promeut la certification des contenus dans la presse en ligne.
Pour rappel, le journaliste de Senego est poursuivi pour « diffusion de fausses nouvelles, diffamation, outrage à un corps constitué et offense au chef de l’Etat ».
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