"C'est la défense qui nous a invité dans la procédure. C'était le 23 mars 2017. Aujourd'hui, elle veut nous écarter", révèle Antoine Diome, évoquant une lettre par laquelle les avocats de Khalifa Sall avaient communiqué d'une demande de liberté provisoire de leur client. C'est un paradoxe, selon lui. "Vous étiez les premiers à nous inviter dans ce procès. Nous avons reçu votre communication de demande de mise en liberté provisoire de Khalifa Sall. Si vous estimez que nous n’avons rien à faire ici, le bon sens aurait conduit à ne jamais nous notifier une quelconque demande de liberté provisoire", s’étonne l’agent judiciaire. Mais cette réaction de la défense n'a rien d'étonnant, selon le magistrat Diome...
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