Soixante-douze (72) heures après la fête de Tabaski, les vendeurs de moutons sont toujours dans certains daraal de Dakar. Dans celui du stade de l'amitié de Grand Médine, l’ambiance d’avant Tabaski a disparu.
Bon nombre d’éleveurs sont encore présents dans les lieux pour tenter d’écouler le bétail invendu. Cependant, ils se plaignent de la cargaison de moutons non écoulés occasionnée par la concurrence des éleveurs venus hors du pays.
Même si la fête de Tabaski est derrière nous, les éleveurs veulent coûte que coûte se débarrasser du bétail, mais les prix proposés par certains clients sont jugés trop bas, voire misérables pour ces derniers. Ainsi, les prix varient entre 50 000 et 150 000 FCFA, à en croire les vendeurs.
Du côté des clients qui viennent sur le daraal espérant faire une bonne affaire après la fête de Tabaski, la réalité est tout autre. Les clients se plaignent, eux aussi, du prix élevé des moutons. Ils ne peuvent pas comprendre que même après la fête de Tabaski, le prix du mouton continue à être aussi cher.
L’aïd-el-kébir 2024 est déjà derrière nous. Cependant, vendeurs de moutons et clients tentent de faire la bonne affaire, mais les prix des moutons encore chers freinent le commerce. Espérons que chacune des deux parties y trouvera son compte...
Bon nombre d’éleveurs sont encore présents dans les lieux pour tenter d’écouler le bétail invendu. Cependant, ils se plaignent de la cargaison de moutons non écoulés occasionnée par la concurrence des éleveurs venus hors du pays.
Même si la fête de Tabaski est derrière nous, les éleveurs veulent coûte que coûte se débarrasser du bétail, mais les prix proposés par certains clients sont jugés trop bas, voire misérables pour ces derniers. Ainsi, les prix varient entre 50 000 et 150 000 FCFA, à en croire les vendeurs.
Du côté des clients qui viennent sur le daraal espérant faire une bonne affaire après la fête de Tabaski, la réalité est tout autre. Les clients se plaignent, eux aussi, du prix élevé des moutons. Ils ne peuvent pas comprendre que même après la fête de Tabaski, le prix du mouton continue à être aussi cher.
L’aïd-el-kébir 2024 est déjà derrière nous. Cependant, vendeurs de moutons et clients tentent de faire la bonne affaire, mais les prix des moutons encore chers freinent le commerce. Espérons que chacune des deux parties y trouvera son compte...
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