La capitale sénégalaise accueille pendant quatre jours la rencontre annuelle des chefs des représentations nationales de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest, dans un contexte sous-régional marqué par de multiples défis.
Lors de l’ouverture officielle des travaux, la Commissaire pour le Développement humain et les Affaires sociales de la CEDEAO, le Pr Fatou Sow Sarr, a insisté sur le rôle stratégique de ces bureaux nationaux. Véritables ponts entre l’institution régionale, les États membres et les populations, ces représentations constituent les « chevilles ouvrières » de l’organisation. « Ils travaillent de près avec les États et les populations, relaient l’action de la CEDEAO et font remonter les réalités du terrain », a-t-elle souligné.
Cette réunion annuelle 2025 a pour objectif principal de renforcer la coordination entre les différentes représentations nationales, d’harmoniser leurs interventions et de favoriser le partage d’expériences, face à un contexte particulièrement complexe.
La région ouest-africaine fait face à de nombreux défis qui menacent la stabilité de l’espace communautaire. L’insécurité persiste, la menace terroriste progresse dangereusement vers les zones côtières, tandis que les crises économiques et climatiques se multiplient.
Sur le plan politique, Mme Fatou Sow Sarr est revenue sur les récents coups d’État militaires qui ont secoué la région. Elle a salué la réactivité de la CEDEAO qui, selon elle, a permis de neutraliser la dernière tentative de putsch. « La leçon à tirer est l’engagement ferme des chefs d’État à intervenir sans attendre pour préserver l’ordre constitutionnel et l’État de droit », a-t-elle déclaré avec fermeté.
Au-delà des enjeux sécuritaires qui monopolisent l’attention médiatique, la Commissaire a tenu à mettre en avant les avancées concrètes de l’organisation en matière d’intégration économique et de développement. Connexion énergétique des États, construction de corridors routiers, facilitation de la libre circulation des personnes et des biens : autant de réalisations qui témoignent, selon elle, des efforts considérables déployés par la CEDEAO.
Prenant l’exemple du Sénégal, Fatou Sow Sarr a cité l’appui de l’institution à l’électrification rurale et à des projets sociaux structurants, comme la création d’une usine de production de serviettes hygiéniques. « Sur le plan du développement, beaucoup de choses se font, mais elles restent insuffisamment visibles », a-t-elle regretté.
Lors de l’ouverture officielle des travaux, la Commissaire pour le Développement humain et les Affaires sociales de la CEDEAO, le Pr Fatou Sow Sarr, a insisté sur le rôle stratégique de ces bureaux nationaux. Véritables ponts entre l’institution régionale, les États membres et les populations, ces représentations constituent les « chevilles ouvrières » de l’organisation. « Ils travaillent de près avec les États et les populations, relaient l’action de la CEDEAO et font remonter les réalités du terrain », a-t-elle souligné.
Cette réunion annuelle 2025 a pour objectif principal de renforcer la coordination entre les différentes représentations nationales, d’harmoniser leurs interventions et de favoriser le partage d’expériences, face à un contexte particulièrement complexe.
La région ouest-africaine fait face à de nombreux défis qui menacent la stabilité de l’espace communautaire. L’insécurité persiste, la menace terroriste progresse dangereusement vers les zones côtières, tandis que les crises économiques et climatiques se multiplient.
Sur le plan politique, Mme Fatou Sow Sarr est revenue sur les récents coups d’État militaires qui ont secoué la région. Elle a salué la réactivité de la CEDEAO qui, selon elle, a permis de neutraliser la dernière tentative de putsch. « La leçon à tirer est l’engagement ferme des chefs d’État à intervenir sans attendre pour préserver l’ordre constitutionnel et l’État de droit », a-t-elle déclaré avec fermeté.
Au-delà des enjeux sécuritaires qui monopolisent l’attention médiatique, la Commissaire a tenu à mettre en avant les avancées concrètes de l’organisation en matière d’intégration économique et de développement. Connexion énergétique des États, construction de corridors routiers, facilitation de la libre circulation des personnes et des biens : autant de réalisations qui témoignent, selon elle, des efforts considérables déployés par la CEDEAO.
Prenant l’exemple du Sénégal, Fatou Sow Sarr a cité l’appui de l’institution à l’électrification rurale et à des projets sociaux structurants, comme la création d’une usine de production de serviettes hygiéniques. « Sur le plan du développement, beaucoup de choses se font, mais elles restent insuffisamment visibles », a-t-elle regretté.
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