En tournée à Kaolack commune, Khalifa Sall est revenu sur son passage à Fatick où son convoi( Matal Yéné) a été bloqué par les forces de l'ordre.
" Qu'on empêche les opposants de manifester, de circuler librement, eux mêmes violent l’esprit de la constitution...Dans ce pays, la liberté de circulation, c'est assuré et garanti à tout citoyen. Rien que pour ça, ils ont tort".
Khalifa Sall dira que s'ils devaient occuper la voie publique, ils devraient introduire une lettre d'information". Et d'ajouter " Ça on devrait le faire...Ce qui nous est arrivé à Fatick, on le déplore. Nous respectons les forces de l'ordre, nous respectons l'autorité administrative, c'est la raison pour laquelle on s'est pliés à cette injonction".
Toutefois, M. Sall de marteler " Mais il ne faut pas qu'il y ait de l'abus...On nous interdit de circuler alors que le candidat du pouvoir fait ce que bon lui semble...Et je suis sûr que si l'on vérifiait, ils n'ont même pas déposer une lettre d'information".
" Qu'on empêche les opposants de manifester, de circuler librement, eux mêmes violent l’esprit de la constitution...Dans ce pays, la liberté de circulation, c'est assuré et garanti à tout citoyen. Rien que pour ça, ils ont tort".
Khalifa Sall dira que s'ils devaient occuper la voie publique, ils devraient introduire une lettre d'information". Et d'ajouter " Ça on devrait le faire...Ce qui nous est arrivé à Fatick, on le déplore. Nous respectons les forces de l'ordre, nous respectons l'autorité administrative, c'est la raison pour laquelle on s'est pliés à cette injonction".
Toutefois, M. Sall de marteler " Mais il ne faut pas qu'il y ait de l'abus...On nous interdit de circuler alors que le candidat du pouvoir fait ce que bon lui semble...Et je suis sûr que si l'on vérifiait, ils n'ont même pas déposer une lettre d'information".
Autres articles
-
Affaire Badara Gadiaga : Une forte mobilisation annoncée demain au tribunal de Dakar
-
Sonko sort les griffes, annonce la tolérance zéro face aux attaques médiatiques, traite la société civile de « fumiers » et avertit le Président Diomaye
-
Sénégal : Quand la critique devient un crime ( Par Cheikhou Oumar Sy et Théodore Chérif Monteil )
-
Badara Gadiaga, la nouvelle dimension populaire
-
C’est quoi le projet ? Monsieur le Premier ministre