L’ex-ministre Karim Wade, depuis Doha, a adressé ses vœux de paix à l’occasion du Ramadan et du Carême, tout en lançant un appel pressant aux autorités sénégalaises pour qu’elles agissent face à la crise économique.
En cette fin du mois béni de Ramadan – qui a coïncidé, comme l’année dernière, avec le Carême chrétien –, l’ex-ministre Karim Wade a exprimé depuis Doha ses vœux de « paix, de santé et de prospérité ». Dans un message adressé aux autorités sénégalaises, il a également alerté sur l’urgence économique du pays.
« Les nouvelles autorités ont hérité d’une situation économique catastrophique, et elles l’ont reconnu. Mais ce constat ne suffit plus. Le peuple sénégalais attend des solutions concrètes, rapides et durables », a-t-il déclaré. « Nos concitoyens et nos entreprises subissent une pression fiscale insoutenable et une précarité croissante. Il est temps de s’attaquer aux racines des problèmes avec courage et responsabilité. »
Karim Wade a insisté sur la nécessité de l’unité nationale dans ce contexte critique : « L’unité n’est pas un luxe, mais une nécessité vitale. Les querelles politiciennes, les divisions et les invectives doivent cesser. Lorsqu’un pays est au bord du précipice, la seule réaction possible est le sursaut collectif. »
En cette fin du mois béni de Ramadan – qui a coïncidé, comme l’année dernière, avec le Carême chrétien –, l’ex-ministre Karim Wade a exprimé depuis Doha ses vœux de « paix, de santé et de prospérité ». Dans un message adressé aux autorités sénégalaises, il a également alerté sur l’urgence économique du pays.
« Les nouvelles autorités ont hérité d’une situation économique catastrophique, et elles l’ont reconnu. Mais ce constat ne suffit plus. Le peuple sénégalais attend des solutions concrètes, rapides et durables », a-t-il déclaré. « Nos concitoyens et nos entreprises subissent une pression fiscale insoutenable et une précarité croissante. Il est temps de s’attaquer aux racines des problèmes avec courage et responsabilité. »
Karim Wade a insisté sur la nécessité de l’unité nationale dans ce contexte critique : « L’unité n’est pas un luxe, mais une nécessité vitale. Les querelles politiciennes, les divisions et les invectives doivent cesser. Lorsqu’un pays est au bord du précipice, la seule réaction possible est le sursaut collectif. »
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