Ce mercredi, la journée mondiale de la liberté de la presse est fêtée. Mais au Sénégal, l’étude de Reporters Sans Frontières sur la position du Sénégal est inquiétante. En effet, dans le classement mondial, le Sénégal qui occupe la 104e place, régresse de 31 places. Un fait qui a été d’autant plus décrié qu'actuellement certains journalistes ont affaire à la justice.
Mais pour le ministre, conseiller du président de la République Macky Sall et porte-parole de l’Alliance pour la république, c’est un rapport qui, même s’il prend en compte certains critères avancés par Reporters Sans Frontières, ne note pas la responsabilité et les limites du journaliste : « Il faut noter que la responsabilité du journaliste est aussi un impératif dans le métier qu’il exerce. L’État du Sénégal a beaucoup fait pour la presse avec le code de la presse en passant par la carte nationale de presse jusqu’au fonds d’aide à la presse avec ses mécanismes d’application aux différentes entreprises de presse, etc… », a rappelé Seydou Guèye qui était l’invité de ce numéro de l’Entretien avec Dakaractu.
En soulevant cette question liée à la liberté de la presse, le ministre est d’avis qu’en dehors du tribunal des pairs, les acteurs des médias qui détiennent une grande responsabilité notamment dans le cadre de la divulgation de l’information, doivent d’abord faire leur autocritique face à certains actes posés et qui, selon lui , « n’ont rien à voir avec le métier… »
Mais pour le ministre, conseiller du président de la République Macky Sall et porte-parole de l’Alliance pour la république, c’est un rapport qui, même s’il prend en compte certains critères avancés par Reporters Sans Frontières, ne note pas la responsabilité et les limites du journaliste : « Il faut noter que la responsabilité du journaliste est aussi un impératif dans le métier qu’il exerce. L’État du Sénégal a beaucoup fait pour la presse avec le code de la presse en passant par la carte nationale de presse jusqu’au fonds d’aide à la presse avec ses mécanismes d’application aux différentes entreprises de presse, etc… », a rappelé Seydou Guèye qui était l’invité de ce numéro de l’Entretien avec Dakaractu.
En soulevant cette question liée à la liberté de la presse, le ministre est d’avis qu’en dehors du tribunal des pairs, les acteurs des médias qui détiennent une grande responsabilité notamment dans le cadre de la divulgation de l’information, doivent d’abord faire leur autocritique face à certains actes posés et qui, selon lui , « n’ont rien à voir avec le métier… »
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