Le syndicat des travailleurs du Mouvement Progressiste des Acteurs du Secteur Informel (MPASI) a tenu ce 1er Mai, une conférence de presse laquelle vise à faire le plaidoyer du secteur informel.
Lors de ladite conférence organisée au siège de l’AFP (Alliance des Forces de Progrès), Lamine Thiam, président du MPASI, est revenu en détails sur ce qui a occasionné cette rencontre.
Par ailleurs, il a déclaré que la fête du travail habituellement organisée à Sandaga a été délocalisée pour des raisons bien définies. « Nous avions l’habitude de l’organiser à Sandaga qu’on considère comme notre maison, étant des marchands ambulants, mais au-delà de ça, comme que nous sommes un mouvement politique et progressiste, nous avons décidé de le délocaliser dans notre permanence à l’AFP pour vulgariser le travail qu’on abat sur le terrain, mais aussi pour nourrir notre parti », poursuit-il.
Par conséquent, Lamine Thiam revient sur les difficultés que le secteur informel considéré comme « le refuge des défavorisés » traverse depuis le début de la pandémie et affirme que le secteur informel a été mis sur le côté dans le projet de relance économique établi par le chef de l’État. C’est l’occasion pour le syndicat d’interpeller les autorités étatiques pour une assistance de ce secteur qui constitue la couche la plus vulnérable, mais polarise 80% des acteurs actifs contribuant de manière forte au développement économique du pays...
Lors de ladite conférence organisée au siège de l’AFP (Alliance des Forces de Progrès), Lamine Thiam, président du MPASI, est revenu en détails sur ce qui a occasionné cette rencontre.
Par ailleurs, il a déclaré que la fête du travail habituellement organisée à Sandaga a été délocalisée pour des raisons bien définies. « Nous avions l’habitude de l’organiser à Sandaga qu’on considère comme notre maison, étant des marchands ambulants, mais au-delà de ça, comme que nous sommes un mouvement politique et progressiste, nous avons décidé de le délocaliser dans notre permanence à l’AFP pour vulgariser le travail qu’on abat sur le terrain, mais aussi pour nourrir notre parti », poursuit-il.
Par conséquent, Lamine Thiam revient sur les difficultés que le secteur informel considéré comme « le refuge des défavorisés » traverse depuis le début de la pandémie et affirme que le secteur informel a été mis sur le côté dans le projet de relance économique établi par le chef de l’État. C’est l’occasion pour le syndicat d’interpeller les autorités étatiques pour une assistance de ce secteur qui constitue la couche la plus vulnérable, mais polarise 80% des acteurs actifs contribuant de manière forte au développement économique du pays...
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