Le phénomène de la radicalisation en Afrique gagne de plus de plus de terrain. C’est ce qui ressort de l’étude dirigée par le professeur Sylvain Landry Faye en collaboration avec le bureau Paix et Sécurité de la fondation Friedrich Ebert Stiftung.
En effet, l’étude démontre que les prisons africaines constituent de nos jours le terreau fertile du radicalisme religieux.
Parmi les causes, la promiscuité dans les lieux de détention favorise l’enrôlement de plusieurs esprits faibles qui n’ont aucune attache sociale avec le monde extérieur et du coup finissent pour la plupart par rallier les causes des présumés djihadistes.
C’est dans ce sens que le directeur du bureau Paix et Sécurité de la fondation Friedrich Ebert Stiftung, Holger Grimm interpelle les acteurs étatiques à mieux adopter des moyens technologiques efficaces face à la radicalisation.
« Les moyens technologiques manquent pour contrecarrer ce fléau », a-t-il martelé.
En outre, il préconise l’isolement des personnes en détention pour terrorisme d’avec les prisonniers du droit commun, mais aussi de mettre sur pied un dispositif opérationnel qui permettrait d’identifier les personnes venant des zones de guerre comme la Syrie, l’Irak, la Lybie(…) et soupçonnées de terroristes.
En effet, l’étude démontre que les prisons africaines constituent de nos jours le terreau fertile du radicalisme religieux.
Parmi les causes, la promiscuité dans les lieux de détention favorise l’enrôlement de plusieurs esprits faibles qui n’ont aucune attache sociale avec le monde extérieur et du coup finissent pour la plupart par rallier les causes des présumés djihadistes.
C’est dans ce sens que le directeur du bureau Paix et Sécurité de la fondation Friedrich Ebert Stiftung, Holger Grimm interpelle les acteurs étatiques à mieux adopter des moyens technologiques efficaces face à la radicalisation.
« Les moyens technologiques manquent pour contrecarrer ce fléau », a-t-il martelé.
En outre, il préconise l’isolement des personnes en détention pour terrorisme d’avec les prisonniers du droit commun, mais aussi de mettre sur pied un dispositif opérationnel qui permettrait d’identifier les personnes venant des zones de guerre comme la Syrie, l’Irak, la Lybie(…) et soupçonnées de terroristes.
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