Dans les couloirs feutrés mais chargés de tension du Tribunal de grande instance de Mbour, une affaire peu ordinaire a récemment secoué la juridiction locale, mêlant violence conjugale, usage de stupéfiants… et polyandrie. Au cœur du dossier : Constance Hector, une ressortissante allemande mariée simultanément à deux Sénégalais, et qui se retrouve prise au piège d’un mariage devenu toxique.
C’est une scène douloureuse et rocambolesque qui s’est déroulée à la barre, selon les informations rapportées par L’Observateur. Constance Hector, installée à Warang dans le département de Mbour, y a traîné son second mari, Pape Abdoulaye Diédhiou, technicien en biologie… mais également consommateur notoire de chanvre indien. Ce dernier a été poursuivi pour violences conjugales après avoir sauvagement agressé son épouse, furieux qu’elle lui ait refusé un cornet de drogue.
Mais la violence ne s’est pas arrêtée là. En furie, Diédhiou a brisé toutes les vitres des portes du domicile conjugal. Menacée physiquement, Constance a dû appeler à l’aide la Brigade de gendarmerie de Nianing, avant de se faire soigner dans une structure sanitaire de la localité. À l’audience, elle a détaillé les humiliations et les douleurs qu’elle subit, demandant au juge que Diédhiou quitte son domicile, devenu pour elle un lieu d’angoisse plus que de partage.
Un second mariage né du désespoir
À la barre, Constance explique avoir épousé Diédhiou après avoir été maltraitée par son premier mari, Mamadou Bâ, avec qui elle est pourtant toujours légalement unie. Si son choix de polyandrie choque certains, elle, le justifie par un enchaînement de violences et d’illusions sentimentales. Pourtant, son second époux n’a pas été le refuge espéré. Elle révèle qu’en cas de dispute, ce dernier ouvre tous les robinets de la maison, allume toutes les lampes et entre dans une crise de nerfs imprévisible.
Face à ces accusations précises, Pape Abdoulaye Diédhiou a gardé la tête basse. Reconnaissant les faits, il s’est répandu en excuses, affirmant tenir à son mariage et regrettant ses actes. La victime, bien que meurtrie, n’a pas réclamé de dommages et intérêts. Mais la justice a tenu à envoyer un signal clair : Diédhiou a été reconnu coupable et condamné à 6 mois de prison, dont 1 mois ferme.
C’est une scène douloureuse et rocambolesque qui s’est déroulée à la barre, selon les informations rapportées par L’Observateur. Constance Hector, installée à Warang dans le département de Mbour, y a traîné son second mari, Pape Abdoulaye Diédhiou, technicien en biologie… mais également consommateur notoire de chanvre indien. Ce dernier a été poursuivi pour violences conjugales après avoir sauvagement agressé son épouse, furieux qu’elle lui ait refusé un cornet de drogue.
Mais la violence ne s’est pas arrêtée là. En furie, Diédhiou a brisé toutes les vitres des portes du domicile conjugal. Menacée physiquement, Constance a dû appeler à l’aide la Brigade de gendarmerie de Nianing, avant de se faire soigner dans une structure sanitaire de la localité. À l’audience, elle a détaillé les humiliations et les douleurs qu’elle subit, demandant au juge que Diédhiou quitte son domicile, devenu pour elle un lieu d’angoisse plus que de partage.
Un second mariage né du désespoir
À la barre, Constance explique avoir épousé Diédhiou après avoir été maltraitée par son premier mari, Mamadou Bâ, avec qui elle est pourtant toujours légalement unie. Si son choix de polyandrie choque certains, elle, le justifie par un enchaînement de violences et d’illusions sentimentales. Pourtant, son second époux n’a pas été le refuge espéré. Elle révèle qu’en cas de dispute, ce dernier ouvre tous les robinets de la maison, allume toutes les lampes et entre dans une crise de nerfs imprévisible.
Face à ces accusations précises, Pape Abdoulaye Diédhiou a gardé la tête basse. Reconnaissant les faits, il s’est répandu en excuses, affirmant tenir à son mariage et regrettant ses actes. La victime, bien que meurtrie, n’a pas réclamé de dommages et intérêts. Mais la justice a tenu à envoyer un signal clair : Diédhiou a été reconnu coupable et condamné à 6 mois de prison, dont 1 mois ferme.
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