Les vagues de critiques de l’opposition contre le gouvernement du président Bassirou Diomaye Faye et son Premier ministre Ousmane Sonko se multiplient depuis leur installation. Les membres de l’opposition, notamment la coalition Gueum Sa Bopp Les Jambaars, ne manquent pas une occasion de dénoncer les nouvelles autorités. Face à une « économie ralentissante », Gueum Sa Bopp est monté au créneau le 11 mars 2025 pour critiquer la manière dont le pays est gouverné.
La coalition Gueum Sa Bopp a dressé une liste des « maux dont souffre le pays », notamment une vague de licenciements, une économie en berne et la flambée des prix des denrées de première nécessité. Moussa Niang, membre de la cellule des cadres de Gueum Sa Bopp Les Jambaars, a livré une déclaration cinglante, pointant du doigt les dysfonctionnements du régime en place.
« À l’heure où le pouvoir d’achat se dégrade, où les licenciements s’enchaînent dans les directions et agences, il serait urgent que le pouvoir en place se penche sur une économie qui agonise, en grande partie à cause des déclarations inappropriées du chef du gouvernement », a-t-il déclaré. Il a également dénoncé la flambée des prix des denrées de première nécessité, qui frappe de plein fouet les ménages en plein ramadan.
Moussa Niang a critiqué la gestion du gouvernement, qualifiant le Premier ministre de « despote masqué » et déplorant l’absence de solutions concrètes face à la montée du mécontentement social. Gueum Sa Bopp a également évoqué les récriminations dans divers secteurs, notamment l’enseignement, la santé, les travailleurs du port, de l’AIBD, de la Lonase, du CDC, ainsi que les paysans affectés par une mauvaise campagne agricole et les jeunes confrontés au chômage.
Enfin, Gueum Sa Bopp a fustigé le bilan du régime, affirmant que « la prouesse de Pastef est d’avoir réussi à compter plus de prisonniers politiques que de réalisations en un an de pouvoir ». Et de conclure : « La dictature ne passera pas. »
Alain Bonang
La coalition Gueum Sa Bopp a dressé une liste des « maux dont souffre le pays », notamment une vague de licenciements, une économie en berne et la flambée des prix des denrées de première nécessité. Moussa Niang, membre de la cellule des cadres de Gueum Sa Bopp Les Jambaars, a livré une déclaration cinglante, pointant du doigt les dysfonctionnements du régime en place.
« À l’heure où le pouvoir d’achat se dégrade, où les licenciements s’enchaînent dans les directions et agences, il serait urgent que le pouvoir en place se penche sur une économie qui agonise, en grande partie à cause des déclarations inappropriées du chef du gouvernement », a-t-il déclaré. Il a également dénoncé la flambée des prix des denrées de première nécessité, qui frappe de plein fouet les ménages en plein ramadan.
Moussa Niang a critiqué la gestion du gouvernement, qualifiant le Premier ministre de « despote masqué » et déplorant l’absence de solutions concrètes face à la montée du mécontentement social. Gueum Sa Bopp a également évoqué les récriminations dans divers secteurs, notamment l’enseignement, la santé, les travailleurs du port, de l’AIBD, de la Lonase, du CDC, ainsi que les paysans affectés par une mauvaise campagne agricole et les jeunes confrontés au chômage.
Enfin, Gueum Sa Bopp a fustigé le bilan du régime, affirmant que « la prouesse de Pastef est d’avoir réussi à compter plus de prisonniers politiques que de réalisations en un an de pouvoir ». Et de conclure : « La dictature ne passera pas. »
Alain Bonang
Autres articles
-
Zone des Niayes / Face aux difficultés liées à la commercialisation de près de 100 mille tonnes de pommes de terre : Les producteurs maraîchers de Cayar tirent la sonnette d'alarme
-
Loi d’amnistie : Entre abrogation et interprétation, la CNDH plaide pour un dialogue national inclusif
-
Dossier des terres du pôle urbain de Diamniadio : le Grand Jaraff Mamadou Diop Thioune réaffirme la légitimité des actions de la DGPU
-
Kaolack – Dr Abdourahmane Ba sur la loi d’amnistie : « Elle doit être le produit d’une large discussion entre toutes les parties prenantes »
-
Le chef de l'armée soudanaise déclare Khartoum "libérée", depuis le palais présidentiel