En effet, le secteur extractif constitue un peu partout dans le monde un levier majeur de croissance économique et de promotion de l’équité sociale, il contribue donc de façon notable à l'accroissement du produit intérieur brut, lorsqu’il fait l’objet d’une gestion rigoureuse et transparente. Selon le rapport de l’initiative de la transparence au Sénégal, publié en décembre 2020, lu par la présidente de l’Ofnac, Seynabou Ndiaye Diakhaté, la contribution du secteur extractif minier et hydrocarbures a représenté 5,66 % des recettes budgétaires de l’État, tandis que son apport au PIB est évalué à hauteur de 3,39%.
Face aux nombreux défis de taille, tels celui de l’octroi des titres miniers, l’Ofnac a commandité cette étude sur les vulnérabilités à la corruption. Ainsi, il s’est assigné huit objectifs dont les plus significatifs étaient de diagnostiquer le cadre juridique et institutionnel entre les pratiques de corruption, de proposer un dispositif de détection et de gestion, de définir le rôle des collectivités territoriales concernées et de proposer des réformes de la législation.
Selon le Dr Moustapha Fall juriste et membre du comité restreint chargé d’améliorer le rapport sur les vulnérabilités à la corruption dans le secteur extractif du Sénégal, le constat fait est que la corruption intervient sur toutes les chaînes de valeur que ce soit dans la décision d’extraire les ressources, dans l’attribution des contrats, dans le contrôle des opérations mais aussi lors de la collecte des revenus.
Ainsi cette étude a voulu présenter ces vulnérabilités et diagnostiquer le cadre juridique et institutionnel en vue d’identifier les formes de corruption, étudier les risques mais surtout les causes sous adjacentes.
Face aux nombreux défis de taille, tels celui de l’octroi des titres miniers, l’Ofnac a commandité cette étude sur les vulnérabilités à la corruption. Ainsi, il s’est assigné huit objectifs dont les plus significatifs étaient de diagnostiquer le cadre juridique et institutionnel entre les pratiques de corruption, de proposer un dispositif de détection et de gestion, de définir le rôle des collectivités territoriales concernées et de proposer des réformes de la législation.
Selon le Dr Moustapha Fall juriste et membre du comité restreint chargé d’améliorer le rapport sur les vulnérabilités à la corruption dans le secteur extractif du Sénégal, le constat fait est que la corruption intervient sur toutes les chaînes de valeur que ce soit dans la décision d’extraire les ressources, dans l’attribution des contrats, dans le contrôle des opérations mais aussi lors de la collecte des revenus.
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