Les conclusions de l’enquête ouverte par les autorités maliennes sur la mort, le 3 octobre dernier, de cinq élèves officiers de l’Ecole interarmes de Koulikoro (Mali), dont la Sénégalaise Fatou Seck Gningue, seront communiquées très prochainement au gouvernement sénégalais, a-t-on appris mercredi à Dakar, de source officielle.
‘’Pour élucider les circonstances de ce drame, l’Etat malien a ouvert une enquête dont les conclusions seront communiquées au gouvernement sénégalais’’ prochainement, rapporte un communiqué du ministère sénégalais des Forces armées.
Il rappelle qu’une ‘’délégation malienne composée d’officiers de haut rang conduite par l’adjoint au chef d’état-major général des armées est arrivée à Dakar le 05 octobre 2011 pour présenter ses condoléances au gouvernement sénégalais et à la famille de la défunte. Elle a été reçue en audience par le ministre d’Etat, ministre des Forces armées et le chef d’état-major général des armées’’ du Sénégal.
Cinq élèves officiers de l’Ecole interarmes de Koulikoro (Mali), dont la Sénégalaise Fatou Seck Gningue, en deuxième année de formation, ont trouvé la mort le 3 octobre dernier, lors d’un exercice dans la zone d’entraînement de Tientienbougou, à l’est de Koulikoro.
A l’annonce de ce drame, le président Abdoulaye Wade avait demandé au ministre sénégalais des Forces armées, Bécaye Diop, une enquête sur les circonstances de la mort de Fatou Seck Gningue.
‘’Il (le président Wade) a rendu un vibrant hommage à la première femme martyre de l’Armée nationale tombée sur le champ d’honneur et présenté ses condoléances à ses parents et à toute sa famille’’, avait ajouté le communiqué.
Selon une première version officielle, Fatou Seck Gningue et ses quatre autres frères d’armes maliens auraient trouvé la mort par inhalation d’oxyde de carbone.
Mais une enquête conduite par la suite par la Direction de la sécurité militaire et la Gendarmerie nationale malienne a permis d’établir, selon des informations de presse, ‘’que ces décès sont survenus suite à des sévices corporelles infligées à l’occasion du traditionnel exercice de bachutage (…)’’.
Le président de la République et le gouvernement ‘’présentent à la famille éplorée de l’élève officier Fatou Seck Gningue ses condoléances attristées’’, souligne le ministère sénégalais des Forces armées dans son communiqué.
( APS )
‘’Pour élucider les circonstances de ce drame, l’Etat malien a ouvert une enquête dont les conclusions seront communiquées au gouvernement sénégalais’’ prochainement, rapporte un communiqué du ministère sénégalais des Forces armées.
Il rappelle qu’une ‘’délégation malienne composée d’officiers de haut rang conduite par l’adjoint au chef d’état-major général des armées est arrivée à Dakar le 05 octobre 2011 pour présenter ses condoléances au gouvernement sénégalais et à la famille de la défunte. Elle a été reçue en audience par le ministre d’Etat, ministre des Forces armées et le chef d’état-major général des armées’’ du Sénégal.
Cinq élèves officiers de l’Ecole interarmes de Koulikoro (Mali), dont la Sénégalaise Fatou Seck Gningue, en deuxième année de formation, ont trouvé la mort le 3 octobre dernier, lors d’un exercice dans la zone d’entraînement de Tientienbougou, à l’est de Koulikoro.
A l’annonce de ce drame, le président Abdoulaye Wade avait demandé au ministre sénégalais des Forces armées, Bécaye Diop, une enquête sur les circonstances de la mort de Fatou Seck Gningue.
‘’Il (le président Wade) a rendu un vibrant hommage à la première femme martyre de l’Armée nationale tombée sur le champ d’honneur et présenté ses condoléances à ses parents et à toute sa famille’’, avait ajouté le communiqué.
Selon une première version officielle, Fatou Seck Gningue et ses quatre autres frères d’armes maliens auraient trouvé la mort par inhalation d’oxyde de carbone.
Mais une enquête conduite par la suite par la Direction de la sécurité militaire et la Gendarmerie nationale malienne a permis d’établir, selon des informations de presse, ‘’que ces décès sont survenus suite à des sévices corporelles infligées à l’occasion du traditionnel exercice de bachutage (…)’’.
Le président de la République et le gouvernement ‘’présentent à la famille éplorée de l’élève officier Fatou Seck Gningue ses condoléances attristées’’, souligne le ministère sénégalais des Forces armées dans son communiqué.
( APS )
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