C’est un véritable message d’humilité qu’a livré le porte-parole du khalife général des mourides Serigne Bassirou Abdou Khadre Mbacké hier, lors de la cérémonie de commémoration de la prière de Takusaan effectuée par le fondateur du Mouridisme Cheikh Ahmadou Bamba Mbacké Khadim Rassoul dans l’océan atlantique en 1895, lors de son chemin vers l’exil.
En effet, venu prendre part à la cérémonie officielle de cet évènement, Serigne Bassirou Mbacké Abdou Khadre, bien qu’étant le porte-parole du Khalife général des mourides, a refusé de prendre la parole devant son frère aîné Serigne Fallou Mbacké Abdou Khadre, par ailleurs l’imam de la grande mosquée de Touba qui a dirigé la prière avant de prononcer le discours d’ouverture de la cérémonie, devant les fidèles musulmans qui s’étaient massivement mobilisés pour prendre part à l'événement.
Auparavant le marabout avait enlevé son bonnet au moment de saluer son frère aîné et le fils du Khalife général. Une véritable leçon d’humilité fortement salué par l’assistance, qui doit inspirer les talibés mourides et tout bon musulman, surtout dans ce contexte marqué par la crise des valeurs où certaines personnes ont tendance à fouler au pied certaines valeurs cardinales qui fondent notre société…
En effet, venu prendre part à la cérémonie officielle de cet évènement, Serigne Bassirou Mbacké Abdou Khadre, bien qu’étant le porte-parole du Khalife général des mourides, a refusé de prendre la parole devant son frère aîné Serigne Fallou Mbacké Abdou Khadre, par ailleurs l’imam de la grande mosquée de Touba qui a dirigé la prière avant de prononcer le discours d’ouverture de la cérémonie, devant les fidèles musulmans qui s’étaient massivement mobilisés pour prendre part à l'événement.
Auparavant le marabout avait enlevé son bonnet au moment de saluer son frère aîné et le fils du Khalife général. Une véritable leçon d’humilité fortement salué par l’assistance, qui doit inspirer les talibés mourides et tout bon musulman, surtout dans ce contexte marqué par la crise des valeurs où certaines personnes ont tendance à fouler au pied certaines valeurs cardinales qui fondent notre société…
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