Toujours retenu à la division des investigations criminelles (DIC) pour la suite de l’enquête, Jérôme Bandiaky dit « Sniper » a répondu à d’autres questions. Les enquêteurs lui ont posé la question sur la possession d’autres comptes bancaires, les montants, ses biens, notamment le nombre de maisons qu’il détiendrait. Également, Bandiaky a été interrogé sur son passeport diplomatique. En effet, selon les enquêteurs, il est mentionné sur son passeport diplomatique : « agent administratif », alors qu’il n’exerce pas cette fonction. Par conséquent, Jérôme a été apostrophé sur cet aspect qui, selon les enquêteurs, serait dans ce cas « une usurpation de fonction ».
Répondant à cette interpellation, Jérôme Bandiaky réitère : « Qu’il ne confectionne pas de passeport. » D’ailleurs, il rappelle l’avoir obtenu à l’époque où il faisait partie de la sécurité de Mimi Touré, alors ministre de la Justice, ensuite Premier ministre. Bandiaky dégage alors toute responsabilité par rapport à cette mention « agent administratif » sur son passeport diplomatique.
Au terme de son interrogatoire ce vendredi, sa garde à vue a été prolongée jusqu’à lundi. Jérôme Bandiaky est encore retourné au commissariat du Plateau où il passera encore la nuit.
Répondant à cette interpellation, Jérôme Bandiaky réitère : « Qu’il ne confectionne pas de passeport. » D’ailleurs, il rappelle l’avoir obtenu à l’époque où il faisait partie de la sécurité de Mimi Touré, alors ministre de la Justice, ensuite Premier ministre. Bandiaky dégage alors toute responsabilité par rapport à cette mention « agent administratif » sur son passeport diplomatique.
Au terme de son interrogatoire ce vendredi, sa garde à vue a été prolongée jusqu’à lundi. Jérôme Bandiaky est encore retourné au commissariat du Plateau où il passera encore la nuit.
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