Un tour fait à la maison mortuaire à Hann Bel-Air nous a permis de découvrir l’atmosphère qui prévalait chez les Ahyi.
Il est 14 heures à Hann Bel-Air. La canicule avait fini d’installer ses suffocants rayons ultra-violets. Hommes, femmes et enfants tous sont dehors sous les arbres à palabrer. Histoire de profiter du bon vent qui souffle dehors. Car la chaleur est énorme à l’intérieur.
Après avoir suivi à la lettre les indications de Raymond, nous avons trouvé sans difficulté le domicile de l’étudiant sauvagement poignardé par ses agresseurs. C’est un immeuble à deux étages à l'intérieur d'une ruelle.
Sur place, des chaises sont rangées sur l’étroit couloir qui mène à la salle de l’appartement. Les rares parents, sympathisants et amis de la famille ont fini d'occuper les chaises. Après les salutations d’usage, et l'explication de notre présence, les discussions ont commencé avec la mère de la victime qui a accepté de parler pour la première fois à la presse. Assise à même le sol et habillée comme l’impose la tradition sérère en cas de deuil, la mère de Célestin s’est concertée avec ses proches avant de nous revenir. Malheureusement pour nous, une dame va s'approcher de nous avec toute la courtoisie requise pour nous indiquer que la famille a jugé prématuré pour la maman de s’exprimer devant la caméra.
Néanmoins, elle nous confié que son fils était toujours là auprès d’elle, et qu'il était une fierté pour ses parents. Il se battait pour satisfaire ses parents. Il s’investissait pour ses proches au point de se sacrifier pour faire plaisir à son prochain. Une grande perte pour ses parents.
Son père béninois d'origine est venu au Sénégal depuis plusieurs décennies. Il était jeune et travaillait comme bibliothécaire. Malade depuis quelques mois, et avec la perte de son fils unique, il est devenu inconsolable, à l'abri des regards.
La famille attend la dépouille du défunt qui est encore retenue pour les besoins d'autopsie, avant de fixer le jour de l’enterrement.
Il est 14 heures à Hann Bel-Air. La canicule avait fini d’installer ses suffocants rayons ultra-violets. Hommes, femmes et enfants tous sont dehors sous les arbres à palabrer. Histoire de profiter du bon vent qui souffle dehors. Car la chaleur est énorme à l’intérieur.
Après avoir suivi à la lettre les indications de Raymond, nous avons trouvé sans difficulté le domicile de l’étudiant sauvagement poignardé par ses agresseurs. C’est un immeuble à deux étages à l'intérieur d'une ruelle.
Sur place, des chaises sont rangées sur l’étroit couloir qui mène à la salle de l’appartement. Les rares parents, sympathisants et amis de la famille ont fini d'occuper les chaises. Après les salutations d’usage, et l'explication de notre présence, les discussions ont commencé avec la mère de la victime qui a accepté de parler pour la première fois à la presse. Assise à même le sol et habillée comme l’impose la tradition sérère en cas de deuil, la mère de Célestin s’est concertée avec ses proches avant de nous revenir. Malheureusement pour nous, une dame va s'approcher de nous avec toute la courtoisie requise pour nous indiquer que la famille a jugé prématuré pour la maman de s’exprimer devant la caméra.
Néanmoins, elle nous confié que son fils était toujours là auprès d’elle, et qu'il était une fierté pour ses parents. Il se battait pour satisfaire ses parents. Il s’investissait pour ses proches au point de se sacrifier pour faire plaisir à son prochain. Une grande perte pour ses parents.
Son père béninois d'origine est venu au Sénégal depuis plusieurs décennies. Il était jeune et travaillait comme bibliothécaire. Malade depuis quelques mois, et avec la perte de son fils unique, il est devenu inconsolable, à l'abri des regards.
La famille attend la dépouille du défunt qui est encore retenue pour les besoins d'autopsie, avant de fixer le jour de l’enterrement.
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