Me Babacar Cissé, membre du collectif d'avocats de Farba Ngom, député de la 15e législature, est revenu sur la procédure en cours visant à lever l’immunité parlementaire de son client. Selon l’avocat, cette démarche fait suite à une demande du ministre de la Justice, qui a été adressée au procureur général près la Cour d’appel de Dakar, le 3 janvier 2025. Il précise que cette affaire n’est pas nouvelle, mais qu’elle remonte à une enquête antérieure où le procureur financier, M. Abdoulaye Sylla, aurait agi sur la base d’un rapport émanant de la CENTIF (Cellule de Traitement des Informations Financières). Ce rapport aurait évoqué des malversations financières impliquant Farba Ngom, avec des montants colossaux de 125 milliards de FCFA. Cependant, Me Cissé souligne que, jusqu'à ce jour, leur client n’a pas eu connaissance de ce rapport et qu’aucune enquête formelle n’a été ouverte à son encontre.
Dans sa déclaration, Me Cissé a insisté sur le fait que la procédure de levée d’immunité parlementaire a créé une situation de certitude pour Farba Ngom, qui a alors constitué un collectif d’avocats pour se préparer à toute procédure judiciaire éventuelle. Ce collectif est composé de quatre avocats, dont Me Doudou, lui-même, Me Al Hassane Cissé et Me Pascal Gomis. L’avocat a également précisé que, malgré les informations relayées par la presse et les deux communiqués concernant les accusations de malversations financières, Farba Ngom n’a jamais été confronté directement à la CENTIF ou à des enquêteurs dans le cadre de cette affaire. Le député se retrouve donc dans une situation de flou juridique, d’autant plus que, dans l’un des communiqués, son nom a été explicitement mentionné, tandis que dans le second, cette mention a disparu.
Enfin, Me Cissé a voulu alerter l’opinion publique sur ce qu’il perçoit comme un complot visant son client. Il rappelle que Farba Ngom, bien qu'ayant entendu parler de son implication à travers la presse, n'a jamais été informé de manière officielle d'une enquête le visant.
Dans sa déclaration, Me Cissé a insisté sur le fait que la procédure de levée d’immunité parlementaire a créé une situation de certitude pour Farba Ngom, qui a alors constitué un collectif d’avocats pour se préparer à toute procédure judiciaire éventuelle. Ce collectif est composé de quatre avocats, dont Me Doudou, lui-même, Me Al Hassane Cissé et Me Pascal Gomis. L’avocat a également précisé que, malgré les informations relayées par la presse et les deux communiqués concernant les accusations de malversations financières, Farba Ngom n’a jamais été confronté directement à la CENTIF ou à des enquêteurs dans le cadre de cette affaire. Le député se retrouve donc dans une situation de flou juridique, d’autant plus que, dans l’un des communiqués, son nom a été explicitement mentionné, tandis que dans le second, cette mention a disparu.
Enfin, Me Cissé a voulu alerter l’opinion publique sur ce qu’il perçoit comme un complot visant son client. Il rappelle que Farba Ngom, bien qu'ayant entendu parler de son implication à travers la presse, n'a jamais été informé de manière officielle d'une enquête le visant.
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