Alors que l’enquête sur l’assassinat de l’artiste Aziz Dabala se poursuit, la famille du défunt brise le silence et formule une requête lourde de sens. À Pikine, les proches du musicien, retrouvé sans vie dans son appartement situé à Technopole, demandent avec insistance la levée des scellés apposés sur les lieux du drame ainsi que la restitution de ses effets personnels, toujours inaccessibles depuis les faits.
Selon L’Observateur, cette démarche intervient dans un contexte d’instruction encore en cours, marqué par de nouvelles auditions et des convocations judiciaires. Mais pour la famille, l’urgence n’est pas judiciaire : elle est humaine. Au nom des siens, Mamadou Bâ, dit Modou, frère aîné de l’artiste, explique que la demande ne vise nullement une appropriation des biens du défunt, mais répond à un besoin profond de soulagement moral.
« Les vêtements, les souvenirs, les documents personnels d’Aziz sont encore là-bas, derrière des scellés. Ne pas pouvoir y accéder prolonge notre douleur », confie-t-il, repris par L’Observateur. Pour la famille, l’appartement de Technopole n’est pas seulement un lieu sous enquête : c’est aussi un espace de mémoire, chargé d’émotions et de fragments de vie qui leur sont aujourd’hui interdits.
Cette impossibilité d’accéder aux affaires personnelles du disparu constitue, selon les proches, un frein au processus de deuil. « Tourner la page est déjà difficile après une telle perte. Mais ne pas pouvoir récupérer ne serait-ce qu’un souvenir empêche même de le faire symboliquement », insiste le frère aîné.
Tout en refusant de commenter les procédures judiciaires en cours et les convocations liées à l’enquête, la famille préfère concentrer sa communication sur cette requête précise, qu’elle juge essentielle pour apaiser les esprits et amorcer une reconstruction psychologique après le choc du drame.
Selon L’Observateur, cette démarche intervient dans un contexte d’instruction encore en cours, marqué par de nouvelles auditions et des convocations judiciaires. Mais pour la famille, l’urgence n’est pas judiciaire : elle est humaine. Au nom des siens, Mamadou Bâ, dit Modou, frère aîné de l’artiste, explique que la demande ne vise nullement une appropriation des biens du défunt, mais répond à un besoin profond de soulagement moral.
« Les vêtements, les souvenirs, les documents personnels d’Aziz sont encore là-bas, derrière des scellés. Ne pas pouvoir y accéder prolonge notre douleur », confie-t-il, repris par L’Observateur. Pour la famille, l’appartement de Technopole n’est pas seulement un lieu sous enquête : c’est aussi un espace de mémoire, chargé d’émotions et de fragments de vie qui leur sont aujourd’hui interdits.
Cette impossibilité d’accéder aux affaires personnelles du disparu constitue, selon les proches, un frein au processus de deuil. « Tourner la page est déjà difficile après une telle perte. Mais ne pas pouvoir récupérer ne serait-ce qu’un souvenir empêche même de le faire symboliquement », insiste le frère aîné.
Tout en refusant de commenter les procédures judiciaires en cours et les convocations liées à l’enquête, la famille préfère concentrer sa communication sur cette requête précise, qu’elle juge essentielle pour apaiser les esprits et amorcer une reconstruction psychologique après le choc du drame.
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