L’essayiste et membre de l’Alliance pour la République (APR), Hamidou Anne, a réagi à la révélation par la Cour des comptes d’une dette de plus de 4 000 milliards de FCFA. Il en attribue la responsabilité au Premier ministre Ousmane Sonko, qu’il accuse d’avoir « sciemment mis en danger la souveraineté nationale ».
Pour Hamidou Anne, cette affaire relève d’« une entreprise constante visant à salir l’ancien régime et à nuire à la réputation du Sénégal ». Le consultant qualifie ces accusations de « ridicules », soulignant qu’une dette de 7 milliards de dollars ne saurait être « cachée » puisque les créanciers sont identifiés, les remboursements en cours et les traces comptables accessibles aux organes de contrôle.
Selon lui, le FMI, « sans moyen de confirmer ou d’infirmer le montant de la dette sénégalaise, ne valide rien ». Il dénonce une situation où le Sénégal, « otage du FMI », subirait les conséquences des « accusations grossières » de Sonko, qui auraient « ruiné la crédibilité et la signature financière du pays ». Parmi les effets redoutés : l’abaissement de la note souveraine, la suppression des subventions et une austérité aux impacts sociaux lourds, notamment pour les populations précaires.
Hamidou Anne fustige « l’incompétence technique et l’immobilisme » du gouvernement, qu’il accuse de « justifier ses échecs par la haine envers l’ancien régime ». En conclusion, il affirme que l’APR est prête à rencontrer le FMI et propose un débat public avec les « 4 000 cadres » de Pastef sur l’état des finances publiques.
Pour Hamidou Anne, cette affaire relève d’« une entreprise constante visant à salir l’ancien régime et à nuire à la réputation du Sénégal ». Le consultant qualifie ces accusations de « ridicules », soulignant qu’une dette de 7 milliards de dollars ne saurait être « cachée » puisque les créanciers sont identifiés, les remboursements en cours et les traces comptables accessibles aux organes de contrôle.
Selon lui, le FMI, « sans moyen de confirmer ou d’infirmer le montant de la dette sénégalaise, ne valide rien ». Il dénonce une situation où le Sénégal, « otage du FMI », subirait les conséquences des « accusations grossières » de Sonko, qui auraient « ruiné la crédibilité et la signature financière du pays ». Parmi les effets redoutés : l’abaissement de la note souveraine, la suppression des subventions et une austérité aux impacts sociaux lourds, notamment pour les populations précaires.
Hamidou Anne fustige « l’incompétence technique et l’immobilisme » du gouvernement, qu’il accuse de « justifier ses échecs par la haine envers l’ancien régime ». En conclusion, il affirme que l’APR est prête à rencontrer le FMI et propose un débat public avec les « 4 000 cadres » de Pastef sur l’état des finances publiques.
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