L’article 6 de l’Accord de Paris qui fait référence à la « coopération volontaire dans la mise en œuvre des Contributions Déterminées au niveau National (CDN) des pays pour une plus grande ambition dans les actions d’atténuation et d’adaptation des parties et pour la promotion du développement durable et de l’intégrité environnementale », a été un point très débattu au cours du sommet de la COP26 qui s’est tenu du 1er au 13 novembre 2021 à Glasgow, en Ecosse.
Avec les approches définies dans l’Accord, à travers l’article 6, on peut entre autres, retenir les approches coopératives générales à définir par les parties, donnant lieu à des réductions d’émissions de CO2 qui peuvent être transférées au niveau international.
Il y a également le mécanisme pour le développement durable similaire au Mécanisme de Développement Propre (MDP) sous le Protocole de Kyoto, coopération fondée sur des approches non marché et enfin les marchés carbone qui constituent un des points les importants de la COP 26. Toutefois, au regard des difficultés de son adoption au cours de la COP précédente, les négociations sur les marchés devront être finalisées à Glasgow.
Le ministre de l’environnement et du développement durable qui n’a pas manqué ce rendez-vous international sur l’environnement important pour le continent Africain, était au cours du Sommet de Glasgow, le président du Conseil ministériel africain sur l’environnement. Il a eu à présider toutes les rencontres de l’Afrique dans le cadre de la mise en œuvre de la politique climatique.
Les positions réaffirmées du Groupe Afrique portent principalement sur la contribution de toutes les approches de l'Article 6 au financement de l'adaptation (Prélèvement) qui est une priorité clé pour le Sénégal, pour éviter tout déséquilibre du marché et l’allocation de ressources financières pour l’adaptation. D’ailleurs, le Sénégal souhaite une disposition obligatoire au même niveau que le mécanisme de l'Article 6.4 dédié au Fonds d'adaptation. Car, il faudrait rejeter « toute disposition volontaire qui n’offrirait aucune garantie de financement de l’Adaptation et créerait un déséquilibre entre les mécanismes 6.4 et 6.2 ».
Aussi, les activités au titre de l’article 6.2 et 6.4 existent parce qu’elles sont celles qui sont les plus rentables pour atténuer les GES...
Avec les approches définies dans l’Accord, à travers l’article 6, on peut entre autres, retenir les approches coopératives générales à définir par les parties, donnant lieu à des réductions d’émissions de CO2 qui peuvent être transférées au niveau international.
Il y a également le mécanisme pour le développement durable similaire au Mécanisme de Développement Propre (MDP) sous le Protocole de Kyoto, coopération fondée sur des approches non marché et enfin les marchés carbone qui constituent un des points les importants de la COP 26. Toutefois, au regard des difficultés de son adoption au cours de la COP précédente, les négociations sur les marchés devront être finalisées à Glasgow.
Le ministre de l’environnement et du développement durable qui n’a pas manqué ce rendez-vous international sur l’environnement important pour le continent Africain, était au cours du Sommet de Glasgow, le président du Conseil ministériel africain sur l’environnement. Il a eu à présider toutes les rencontres de l’Afrique dans le cadre de la mise en œuvre de la politique climatique.
Les positions réaffirmées du Groupe Afrique portent principalement sur la contribution de toutes les approches de l'Article 6 au financement de l'adaptation (Prélèvement) qui est une priorité clé pour le Sénégal, pour éviter tout déséquilibre du marché et l’allocation de ressources financières pour l’adaptation. D’ailleurs, le Sénégal souhaite une disposition obligatoire au même niveau que le mécanisme de l'Article 6.4 dédié au Fonds d'adaptation. Car, il faudrait rejeter « toute disposition volontaire qui n’offrirait aucune garantie de financement de l’Adaptation et créerait un déséquilibre entre les mécanismes 6.4 et 6.2 ».
Aussi, les activités au titre de l’article 6.2 et 6.4 existent parce qu’elles sont celles qui sont les plus rentables pour atténuer les GES...
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