Le collectif pour la défense des intérêts du village de Ndiakhirate a tenu un sit-in, ce vendredi 30 avril 2021 pour protester contre l'accaparement de leurs 7 hectares de terre par un promoteur du nom de Adama Sow et la SN-HLM.
Occasion pour eux de traiter de tous les noms d'oiseaux, monsieur Adama Sow qui veut s'accaparer de leurs terres sans raison valable.
Selon le porte-parole du collectif, Daouda Ba, "plus de 400 familles sont concernées par cette spoliation foncière. Nous savons tous que les droits réels sont fictifs parce que dans un titre foncier, il faut qu'il y ait un décret et l'avenant. Le décret qui lie monsieur Adama Sow au terrain du domaine national qui a été transformé en bail et en titre foncier 42-57, c'est 5 hectares au lieu de 7 hectares. Il n'a jamais existé d'enquête commodo et incommodo pour attribuer à Adama Sow un tel titre".
Le Conseil municipal a délibéré pour attribuer 48 parcelles aux jeunes de Ndiakhirate, poursuit-il. Pour diligenter le problème qui les oppose à la SN-HLM, les populations de Ndiakhirate, à travers leur porte-parole, Daouda Ba, demandent au Chef de l'État d'intervenir en délocalisant la SN-HLM au niveau du Pôle Urbain de Diamniadio ou du Lac Rose.
"Nous irons là où il faut aller pour retrouver nos terres quel que soit le prix que cela va nous coûter", a déclaré le porte-parole du collectif pour terminer.
Occasion pour eux de traiter de tous les noms d'oiseaux, monsieur Adama Sow qui veut s'accaparer de leurs terres sans raison valable.
Selon le porte-parole du collectif, Daouda Ba, "plus de 400 familles sont concernées par cette spoliation foncière. Nous savons tous que les droits réels sont fictifs parce que dans un titre foncier, il faut qu'il y ait un décret et l'avenant. Le décret qui lie monsieur Adama Sow au terrain du domaine national qui a été transformé en bail et en titre foncier 42-57, c'est 5 hectares au lieu de 7 hectares. Il n'a jamais existé d'enquête commodo et incommodo pour attribuer à Adama Sow un tel titre".
Le Conseil municipal a délibéré pour attribuer 48 parcelles aux jeunes de Ndiakhirate, poursuit-il. Pour diligenter le problème qui les oppose à la SN-HLM, les populations de Ndiakhirate, à travers leur porte-parole, Daouda Ba, demandent au Chef de l'État d'intervenir en délocalisant la SN-HLM au niveau du Pôle Urbain de Diamniadio ou du Lac Rose.
"Nous irons là où il faut aller pour retrouver nos terres quel que soit le prix que cela va nous coûter", a déclaré le porte-parole du collectif pour terminer.
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