La mort de Astou Sokhna est toujours au cœur des débats. Beaucoup de concitoyens dénoncent le traitement réservé aux malades dans les structures publiques. Une réputation peu enviable de goulag pour les femmes. Et c’est pour que plus jamais, les femmes ne subissent cette douleur atroce qu'un collectif a été mis en place pour porter le combat pour que justice soit faite.
Marième Soda Ndiaye, députée à l'Assemblée nationale était au rendez-vous du collectif "patients en danger".
Prenant la parole, elle dira : "aujourd'hui combien de femmes ont dû vivre ce même calvaire dans les maternités. Elles sont nombreuses. Et ça doit cesser! Aucune femme ne doit mourir en donnant la vie. Désormais, nous n'accepterons plus jamais ça et nous allons nous battre pour préserver la dignité humaine", a laissé entendre Marième Soda Ndiaye.
Faisant référence sur la gouvernance sanitaire, l'honorable député a fait savoir que "entre 2017 et 2022 plus de 811 milliards ont été injectés dans le secteur sanitaire, mais en réalité on a l'impression de dire que ce secteur est le grand désastre. Alors que si on se fie à l'article 7 de la constitution, l'État doit protéger tous les citoyens. C'est une obligation et un devoir...", ajoute-t-elle.
Pour rappel, l'époux de la défunte Modou Mboup avait déposé une plainte contre les responsables de l'hôpital, pour négligence et non-assistance à personne en danger, renseigne le communiqué du gouverneur de Louga.
Marième Soda Ndiaye, députée à l'Assemblée nationale était au rendez-vous du collectif "patients en danger".
Prenant la parole, elle dira : "aujourd'hui combien de femmes ont dû vivre ce même calvaire dans les maternités. Elles sont nombreuses. Et ça doit cesser! Aucune femme ne doit mourir en donnant la vie. Désormais, nous n'accepterons plus jamais ça et nous allons nous battre pour préserver la dignité humaine", a laissé entendre Marième Soda Ndiaye.
Faisant référence sur la gouvernance sanitaire, l'honorable député a fait savoir que "entre 2017 et 2022 plus de 811 milliards ont été injectés dans le secteur sanitaire, mais en réalité on a l'impression de dire que ce secteur est le grand désastre. Alors que si on se fie à l'article 7 de la constitution, l'État doit protéger tous les citoyens. C'est une obligation et un devoir...", ajoute-t-elle.
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