Ingénieur en génie électrique, en électrotechnique, ayant officié dans des multinationales en Europe, le docteur Fall Mbaye est d’attaque pour briguer les suffrages des populations de Mbacké à l’occasion des prochaines joutes électorales locales.
Natif de la ville, mais longtemps hors du pays pour des raisons professionnelles, le candidat déclaré est souvent « apostrophé » par des politiciens qui lui opposent l’idée selon laquelle la commune souhaite avoir un maire résident. Se prêtant aux questions de Dakaractu, il préférera dire clairement sa position sur cette affaire. « Comment un maire résident peut il trouver les solutions aux problèmes de la commune ? Être résident pour signer des pièces d’état civil ? Le travail qui se fait ne nécessite plus une présence physique du maire. Mon bureau est mon ordinateur et mon téléphone comme c’est le cas pour bon nombre de citoyens du monde. Que Dieu nous garde d’avoir un maire résident. Nous avons l’ambition d’aller chercher les multinationales et de les amèner investir pour le développement de notre localité. Le statut de maire n’est pas une profession. C’est pourquoi je ne veux ni salaire, ni véhicule, ni carburant ».
Le docteur Fall Mbaye de marteler que Mbacké a suffisamment accusé de retard mettant en exergue la modicité des ressources de la municipalité. « Aucun pays à travers le monde ne saurait se développer sans l’implication de la jeunesse. Et ici les jeunes ne travaillent pas. Et chaque jeune qui travaille aurait, au moins, payé le minimum fiscal de son foyer. Mbacké ne profite même pas du minimum fiscal parce que le taux de chômage est fort. Nous proposons des solutions pragmatiques qui peuvent radicalement changer la donne. Avec 400 millions de francs et 300 millions de dotation, les maires ne pourront rien faire... »
Interpellé sur l’autre accusation à savoir profiter de son aura obtenu suite à combat qu’il a mené contre la mauvaise qualité de l’eau desservie à Mbacké, notre interlocuteur balaiera d’un revers de main. « Je ne suis pourtant pas père de ce combat. Toutefois, je me suis rendu compte que la mauvaise qualité de l’eau reçue par les populations n’intéressait pas les politiciens de ce département. Je suis étonné. Il s’est trouvé que je nourrissais des projets industriels. C’est la raison pour laquelle nous avons jugé utile de postuler pour le fauteuil de maire. »
Natif de la ville, mais longtemps hors du pays pour des raisons professionnelles, le candidat déclaré est souvent « apostrophé » par des politiciens qui lui opposent l’idée selon laquelle la commune souhaite avoir un maire résident. Se prêtant aux questions de Dakaractu, il préférera dire clairement sa position sur cette affaire. « Comment un maire résident peut il trouver les solutions aux problèmes de la commune ? Être résident pour signer des pièces d’état civil ? Le travail qui se fait ne nécessite plus une présence physique du maire. Mon bureau est mon ordinateur et mon téléphone comme c’est le cas pour bon nombre de citoyens du monde. Que Dieu nous garde d’avoir un maire résident. Nous avons l’ambition d’aller chercher les multinationales et de les amèner investir pour le développement de notre localité. Le statut de maire n’est pas une profession. C’est pourquoi je ne veux ni salaire, ni véhicule, ni carburant ».
Le docteur Fall Mbaye de marteler que Mbacké a suffisamment accusé de retard mettant en exergue la modicité des ressources de la municipalité. « Aucun pays à travers le monde ne saurait se développer sans l’implication de la jeunesse. Et ici les jeunes ne travaillent pas. Et chaque jeune qui travaille aurait, au moins, payé le minimum fiscal de son foyer. Mbacké ne profite même pas du minimum fiscal parce que le taux de chômage est fort. Nous proposons des solutions pragmatiques qui peuvent radicalement changer la donne. Avec 400 millions de francs et 300 millions de dotation, les maires ne pourront rien faire... »
Interpellé sur l’autre accusation à savoir profiter de son aura obtenu suite à combat qu’il a mené contre la mauvaise qualité de l’eau desservie à Mbacké, notre interlocuteur balaiera d’un revers de main. « Je ne suis pourtant pas père de ce combat. Toutefois, je me suis rendu compte que la mauvaise qualité de l’eau reçue par les populations n’intéressait pas les politiciens de ce département. Je suis étonné. Il s’est trouvé que je nourrissais des projets industriels. C’est la raison pour laquelle nous avons jugé utile de postuler pour le fauteuil de maire. »
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