Maty F., accusée d’avoir gravement brûlé le visage de sa belle-sœur avec un liquide corrosif à Mbacké, a été écrouée à la maison d’arrêt et de correction de Diourbel. Elle avait auparavant tenté de simuler une maladie, probablement pour échapper à la justice.
L’affaire remonte à une violente altercation au cours de laquelle Maty F. aurait versé un liquide bouillant sur le visage de l’épouse de son frère, lui infligeant de graves blessures. Alerté, le frère de la suspecte – et mari de la victime – a lui-même conduit Maty F. à la gendarmerie de Mbacké, où elle a été placée en garde à vue.
En détention, la présumée coupable a d’abord invoqué des problèmes de santé, peut-être dans l’espoir de suspendre la procédure. Conduite au centre de santé de Mbacké pour une évaluation médicale, son état a été jugé compatible avec la détention. Après consultation des médecins, ses allégations ont été infirmées.
L’autorité judiciaire, devant laquelle Maty a été présentée, a finalement ordonné son placement sous mandat de dépôt, mettant fin à sa garde à vue. La suspecte a ainsi passé sa première nuit à la maison d’arrêt et de correction de Diourbel, en attendant son procès pour violences aggravées. Cet acte, d’une particulière brutalité, sera examiné par le juge le 17 avril 2025.
Les motivations exactes de son geste restent floues, mais des sources familiales évoquent des tensions persistantes entre les deux femmes. Après avoir fui pendant plus de 48 heures, Maty s’est finalement rendue aux gendarmes, avec l’implication de son frère, avant d’avouer son crime.
L’affaire remonte à une violente altercation au cours de laquelle Maty F. aurait versé un liquide bouillant sur le visage de l’épouse de son frère, lui infligeant de graves blessures. Alerté, le frère de la suspecte – et mari de la victime – a lui-même conduit Maty F. à la gendarmerie de Mbacké, où elle a été placée en garde à vue.
En détention, la présumée coupable a d’abord invoqué des problèmes de santé, peut-être dans l’espoir de suspendre la procédure. Conduite au centre de santé de Mbacké pour une évaluation médicale, son état a été jugé compatible avec la détention. Après consultation des médecins, ses allégations ont été infirmées.
L’autorité judiciaire, devant laquelle Maty a été présentée, a finalement ordonné son placement sous mandat de dépôt, mettant fin à sa garde à vue. La suspecte a ainsi passé sa première nuit à la maison d’arrêt et de correction de Diourbel, en attendant son procès pour violences aggravées. Cet acte, d’une particulière brutalité, sera examiné par le juge le 17 avril 2025.
Les motivations exactes de son geste restent floues, mais des sources familiales évoquent des tensions persistantes entre les deux femmes. Après avoir fui pendant plus de 48 heures, Maty s’est finalement rendue aux gendarmes, avec l’implication de son frère, avant d’avouer son crime.
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