Le village de Keur Matar Souna manque presque de tout. Selon les habitants, le village souffre d'un déficit criant en électricité, en eau potable et en pistes praticables.
« Notre village manque quasiment de tout. Pas d'eau potable, nous sommes obligés de nous rabattre sur les puits. Nous n'avons pas d'électricité. Tous les villages qui nous entourent ont de l'électricité, sauf nous », a dénoncé Elhadji Mbaye, chef de village de Keur Matar Souna.
À ces maux s'ajoute le manque d'infrastructures rurales, notamment un poste ou une case de santé. « Les femmes souffrent, surtout celles qui accouchent, faute de routes praticables. Nous n'avons aucune structure de santé dans le village. Nous sommes obligés de parcourir des kilomètres sur des routes cahoteuses pour aller jusqu'à Ndramé Escale, ce qui est vraiment déplorable. Nous n'avons pas non plus d'eau, ce qui rend la vie des ménages très difficile. Nous n'avons pas d'électricité alors que nous payons les impôts. C'est comme si nous ne faisions pas partie du pays ? », a déploré Khodia Mbaye, relais communautaire.
« Tous les jeunes ont fui le village pour aller à Dakar parce que le village n'a rien. Nous n'avons pas d'électricité et pourtant, il y a un village à 500 mètres de nous qui en a, mais nous, nous ne pouvons pas en bénéficier depuis belle lurette », se désole Mouhamed Touré.
Face à cette situation insoutenable, les habitants de Keur Matar Souna ont lancé un appel au Président Bassirou Diomaye Faye et à son Premier ministre, Ousmane Sonko, pour mettre fin à ce calvaire.
Il faut noter que pour se rendre à Keur Matar Souna, situé dans la commune de Ndramé Escale (région de Kaolack), il est impératif de passer par la commune de Passy, qui se trouve dans la région de Fatick, faute de routes praticables directes.
« Notre village manque quasiment de tout. Pas d'eau potable, nous sommes obligés de nous rabattre sur les puits. Nous n'avons pas d'électricité. Tous les villages qui nous entourent ont de l'électricité, sauf nous », a dénoncé Elhadji Mbaye, chef de village de Keur Matar Souna.
À ces maux s'ajoute le manque d'infrastructures rurales, notamment un poste ou une case de santé. « Les femmes souffrent, surtout celles qui accouchent, faute de routes praticables. Nous n'avons aucune structure de santé dans le village. Nous sommes obligés de parcourir des kilomètres sur des routes cahoteuses pour aller jusqu'à Ndramé Escale, ce qui est vraiment déplorable. Nous n'avons pas non plus d'eau, ce qui rend la vie des ménages très difficile. Nous n'avons pas d'électricité alors que nous payons les impôts. C'est comme si nous ne faisions pas partie du pays ? », a déploré Khodia Mbaye, relais communautaire.
« Tous les jeunes ont fui le village pour aller à Dakar parce que le village n'a rien. Nous n'avons pas d'électricité et pourtant, il y a un village à 500 mètres de nous qui en a, mais nous, nous ne pouvons pas en bénéficier depuis belle lurette », se désole Mouhamed Touré.
Face à cette situation insoutenable, les habitants de Keur Matar Souna ont lancé un appel au Président Bassirou Diomaye Faye et à son Premier ministre, Ousmane Sonko, pour mettre fin à ce calvaire.
Il faut noter que pour se rendre à Keur Matar Souna, situé dans la commune de Ndramé Escale (région de Kaolack), il est impératif de passer par la commune de Passy, qui se trouve dans la région de Fatick, faute de routes praticables directes.
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