Thierno Leconte Seck, le président de l'association des donneurs de sang n’a pas raté l'opportunité offerte par la journée mondiale dédiée aux donneurs de sang, pour éclairer la lanterne des sénégalais sur une supposée pénurie de sang au niveau du centre national de transfusion sanguine.
Selon lui, cela résulte d’un problème de « communication » entre la population et le personnel de santé : « parfois, quelqu'un peut vouloir un groupe alors que l'hôpital n’en disposait pas. Alors là ses proches, au lieu de comprendre qu’on n'a pas ce groupe, sort pour dire qu'il n’y a pas de sang… »
Aussi, poursuit-il, le plus souvent le centre rencontre des problèmes financiers pour pouvoir acheter des poches et des réactifs aux niveau de la pharmacie nationale d'approvisionnement. Et pour la plupart ce sont les centres situés à l'intérieur du pays qui en souffrent le plus parce qu'ils ont des problèmes de paiement « déjà une poche simple coûte 10.000f ou plus et une poche double coûte 12.000 et quelques. Imaginez si on y ajoute le réactif et tout le travail à faire, la poche de sang allait coûter près de 100.000f et serait hors de portée pour les sénégalais. »
Pour éviter cela, l’État a subventionné beaucoup de dépenses et pris en charge la presque totalité des dépenses. Les paramètres qui entrent en jeu dans ce processus sont loin de s’en arrêter là...
Selon lui, cela résulte d’un problème de « communication » entre la population et le personnel de santé : « parfois, quelqu'un peut vouloir un groupe alors que l'hôpital n’en disposait pas. Alors là ses proches, au lieu de comprendre qu’on n'a pas ce groupe, sort pour dire qu'il n’y a pas de sang… »
Aussi, poursuit-il, le plus souvent le centre rencontre des problèmes financiers pour pouvoir acheter des poches et des réactifs aux niveau de la pharmacie nationale d'approvisionnement. Et pour la plupart ce sont les centres situés à l'intérieur du pays qui en souffrent le plus parce qu'ils ont des problèmes de paiement « déjà une poche simple coûte 10.000f ou plus et une poche double coûte 12.000 et quelques. Imaginez si on y ajoute le réactif et tout le travail à faire, la poche de sang allait coûter près de 100.000f et serait hors de portée pour les sénégalais. »
Pour éviter cela, l’État a subventionné beaucoup de dépenses et pris en charge la presque totalité des dépenses. Les paramètres qui entrent en jeu dans ce processus sont loin de s’en arrêter là...
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