La recrudescence de la violence au Sénégal marquée par une série de meurtres et l’insécurité galopante dans différents quartier de Dakar interpellent tous les citoyens .Un atelier sur le thème « La gestion des risques sécuritaires dans Dakar et sa banlieue » tenu à l’hôtel de ville de Guédiawaye a vu la participation des associations de jeunes et de femmes, des Imams ,des délégués de quartier, des représentants du ministère en charge de la sécurité publique, des commissaires de police, du préfet entre autres pour une réflexion inclusive afin d’apporter une analyse sur le phénomène de société que constitue la délinquance juvénile et le grand banditisme pour proposer des sources de sortie de crise à ce phénomène.
« C’est le modèle qui a réussi à Niamey au Niger et que nous voulons dupliquer au Sénégal dans les 45 régions. Il s’agit d’une approche communautaire pour que les populations disent réellement la situation insécuritaire de leur localité et proposer des solutions » dit Imam Ismaël Ndiaye, l’initiateur du projet.
Le commissaire central de Guédiawaye loue l’initiative et invite les populations à s’impliquer davantage pour lutter contre ce phénomène « On se réjouit de l’engagement et de la démarche. Au sortir de cet atelier nous allons avoir des outils, ce qui nous permettra de voir dans le dispositif sécuritaire là où il y a vraiment une faille au niveau du dispositif sécuritaire, des moyens mis en œuvres et parfois au niveau de l’approche. » Les membres de la société civile ont diagnostiqué le mal, après avoir indiqué les causes de l’insécurité, des solutions de la société civiles ont été présentées aux autorités en charge de la sécurité publique.
Le maire de la ville qui a présidé l’atelier de préconiser « Tout d’abord, il faut lutter contre l’absence de l’éclairage public. Le renforcement du matériel et du personnel de la police pour lutter durablement contre l’insécurité. Les organisateurs ont demandé aux délégués et imams de dupliquer l’atelier à la base. Une tournée sera même tenue dans toutes les régions. Une procession est organisée pour ce vendredi pour aller remettre au préfet un mémorandum pour dire stop aux crimes odieux.
« C’est le modèle qui a réussi à Niamey au Niger et que nous voulons dupliquer au Sénégal dans les 45 régions. Il s’agit d’une approche communautaire pour que les populations disent réellement la situation insécuritaire de leur localité et proposer des solutions » dit Imam Ismaël Ndiaye, l’initiateur du projet.
Le commissaire central de Guédiawaye loue l’initiative et invite les populations à s’impliquer davantage pour lutter contre ce phénomène « On se réjouit de l’engagement et de la démarche. Au sortir de cet atelier nous allons avoir des outils, ce qui nous permettra de voir dans le dispositif sécuritaire là où il y a vraiment une faille au niveau du dispositif sécuritaire, des moyens mis en œuvres et parfois au niveau de l’approche. » Les membres de la société civile ont diagnostiqué le mal, après avoir indiqué les causes de l’insécurité, des solutions de la société civiles ont été présentées aux autorités en charge de la sécurité publique.
Le maire de la ville qui a présidé l’atelier de préconiser « Tout d’abord, il faut lutter contre l’absence de l’éclairage public. Le renforcement du matériel et du personnel de la police pour lutter durablement contre l’insécurité. Les organisateurs ont demandé aux délégués et imams de dupliquer l’atelier à la base. Une tournée sera même tenue dans toutes les régions. Une procession est organisée pour ce vendredi pour aller remettre au préfet un mémorandum pour dire stop aux crimes odieux.
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